Derniers visionnages

[magik]

 

High Flying Bird, de Steven Soderbergh (Traffic, Ocean's Eleven) Netflix

 

Tourné à l'iphone 7, comme le précédent long de Soderbergh (Paranoïa, pas le plus passionnant de ses films), High Flying Bird raconte une sombre histoire de négociations entre agents, joueurs, syndicats et grands patrons durant un lock-out de la NBA. Le film ne manque pas de qualités (la photographie, les acteurs) mais est plombé par ce flou artistique dès lors qu'on n'est pas un spécialiste du fonctionnement de la NBA. Rien n'est expliqué clairement et il faut se débattre entre les différents termes techniques et les subtilités de contrat pour s'en sortir et comprendre quelque chose.

 

 

 

Simetierre, de Mary Lambert (Urban Legend 3 et d'autres trucs que je ne connais pas)

 

Première fois que je voyais cette adaptation du roman de Stephen King. Si l'histoire est intéressante à défaut d'être passionnante, le film accuse malheureusement son âge et souffre d'une photographie datée et d'un jeu d'acteur plutôt approximatif. Une petite déception vu le potentiel de l'histoire.

 

 

 

Waxwork, de Anthony Hickox (Hellraiser 3, Prince Vaillant)

 

Oulàlà comme c'est mauvais ! Certains films d'horreur des 80's ne devraient jamais être revus. Non seulement ça a pris un sacré coup de vieux mais en plus c'est ultra cheap,le scénario est complètement con et les réactions des personnages sont incompréhensibles. Plus jamais !

 

 

 

Apparences, de Robert Zemeckis (Retour vers le futur, Contact)

 

Solide film de suspense teinté de fantastique, Apparences reste plutôt efficace malgré les années, bien aidé par Harrison Ford et Michelle Pfeiffer, très convaincants, et de subtils effets spéciaux. Si on fait abstraction d'une grosse ficelle au deux-tiers du film, on passe un très bon moment.

 

 

 

Christine, de John Carpenter (New York 1997, Fog)

 

Bon, ce film avec une voiture tueuse ne m'a jamais passionné. Si il possède des qualités, notamment visuelles, j'ai du mal à comprendre son statut un peu culte. Les acteurs ne sont pas tous très justes et le scénario est vraiment sans surprise. Néanmoins, je ne me suis pas ennuyé, c'est déjà ça. ^^

 

 

 

Area 51, de Oren Peli (Paranormal Activity) Netflix

 

Après visionnage, je comprend pourquoi ce film tourné en 2009 à mis si longtemps à sortir (2015 aux Etats-Unis, l'année dernière chez nous, uniquement en VOD). Si vous détestez le found footage, passez votre chemin, si vous aimez ça c'est pareil. Le film est structuré exactement comme Le Projet Blair Witch, auquel il reprend carrément des plans entiers, et verse vite dans le n'importe quoi (rentrer chez mon boulanger, c'est visiblement plus difficile que de contourner la sécurité de la zone 51...). Si on a droit à deux ou trois idées sympa dans la seconde partie du film, ça reste quand même une bonne grosse purge.

 

 

 

Les Mondes de Ralph, de Rich Moore (Zootopie)

 

J'aime beaucoup ce film d'animation qui propose des mondes colorés et ravit par ces références multiples . L'histoire en elle même est très classique, mais le tout est tellement bien exécuté que c'est secondaire. Un vrai plaisir.

 

 

 

Alad'2, de Lionel Steketee (Case départ, Les Nouvelles aventures de Cendrillon)

 

Le choix de mes enfants. Personnellement j'ai détesté. Le premier en comparaison est un chef d'oeuvre. Rien ne sauve l'ensemble, ni Jamel, ni Eric et Ramzy, ni les effets spéciaux ratés. A la limite, l'apparition de Jean Paul Rouve est sympa mais c'est tout. A mon avis, au dessus de 12 ans, c'est mort, personne n'aimera.

 

[Ben Richards]

 

Le disque 4K.

 

Citation

Primatologue de profession, David Okoye a plus de mal à nouer des liens avec ses semblables qu’avec les singes. Pas étonnant qu’il se soit pris d’affection pour George, adorable gorille d’une intelligence hors du commun, dont il s’occupe depuis sa naissance. Mais suite à une expérience génétique catastrophique, George se métamorphose en monstre incontrôlable. Et il n’est pas le seul puisque d’autres animaux se transforment en prédateurs enragés aux quatre coins du pays, détruisant tout sur leur passage. Okoye décide alors de travailler d’arrache-pied avec une généticienne pour mettre au point un antidote. Pourront-ils à temps empêcher la planète d’être ravagée ?

 

J'en attendais rien, au final, j'ai passé un bon moment, surtout mon cerveau qui s'est mis sur OFF!

Film pop corn par excellence, les monstres sont impressionnants, merci les SFX plutôt réussis dans l'ensemble & le final dans la ville est vraiment dantesque!

Coté casting, "The Rock" fait le job, juste un peu déçu de Jeffrey Dean Morgan qui nous fait un peu du Negan, il s'est pas trop foulé dans son jeu d'acteur sur ce coup...

Techniquement, l'image est belle, surtout lors des plans larges & des scènes de bastons entre les bestioles, à un moment, on peut presque compter le nombres de gouttes de sueur sur le front de Dwayne Johnson & pour le son, la VO 5.1 DTS-HD MA envoie du lourd, le caisson de basse étant largement mis à contribution!

 

Film:

Image:

Son:

Modifié 15 février 2019 par Dark Vador

[ncis28]

il y a 7 minutes, Dark Vador a dit :

J'en attendais rien, au final, j'ai passé un bon moment, surtout mon cerveau

Le mec dit qu' il a un cerveau 

[Ben Richards]

il y a 1 minute, ncis28 a dit :

Le mec dit qu' il a un cerveau 

Le tien, ça doit être une vraie éponge...

[ncis28]

Le rêve. 

[ncis28]

Il y a 2 heures, ncis28 a dit :

 

Compte rendu.

 

Une image vaut mille mot

 

[Hellboy]

Le 14/02/2019 à 19:00, magik a dit :

 

 

Alad'2, de Lionel Steketee (Case départ, Les Nouvelles aventures de Cendrillon)

 

Le choix de mes enfants.

 

Va falloir qu'on reparle de tes méthodes parentales

 

 

 

Une excellente découverte : cadre original, casting impliqué et une histoire en apparence simple qui réserve une sacrée surprise finale. Un des meilleurs films de l'année dernière en ce qui me concerne.

 

Film :  

Blu Ray :

[vinny91]

  Vu en VO sous titres FR, piste DTS MA HD 5.1, ultra dynamique donc attention au volume sonore pour ne pas se facher avec les voisins  

 

J'avoue, je n'ai jamais vu les précédentes versions de ce film ... donc je partais avec tous les echos que j'avais entendu sans rien connaitre du film ... 

Contrairement à Greatest Showman (où les 1eres notes te plongent direct dedans avec entrain), là la 1ere chanson ne m'a pas fait frissonner à la 1ere écoute ... mais depuis que j'ai vu le film je me passe la BO en boucle  

 

Alors, mon impression, Bradley Cooper nous offre une magnifique intepretation ... je ne voudrais pas trop m'etaller pr ne pas spoiler.  

Cet acteur m'avait deja scotché avec "Happiness Therapy" et là c'est encore un cran au dessus.

Lady Gaga, totalement métamorphosée, prouve sans mal, qu'elle peut se detacher de l'image qu'elle s'est construite, et montre que c'est une sacrée actrice. Le duo d'acteur fonctionne à merveille.

Le scenar, sans tomber dans le trop mélo, est emouvant, vous ne pourrez pas y rester insensible.

Je comprends maintenant le phénomène autour de ce film ... il mérite d'etre vu, et revu .... avec un pur plaisir, les 2h10 passent vite, je n'ai pas ressentis de "temps morts" 

Bref, j'ai adoré ce film, j'avoue ... j'ai eu ma ptite larme, ou plutot la gorge nouée  

Ne soyez pas emertique à certains styles de musiques, là c'est plutot les paroles, leurs significations, qui comptent. Par exemple, suis pas fan de "R&B" et de "Rap", pourtant j'ai adoré le film "8 Miles"

Le film de l'année, je ne sais pas, mais un tres tres grand moment de cinéma, et c'est tout ce que j'attends lorsque je mate un film. 

[Hellboy]

 

Un film de guerre clichesque et sans aucune surprise, avec de bons soldats américains bien courageux qui vont se dresser contre un ennemi qui les surpasse en nombre, fonçant à travers les explosions tout en vidant des chargeurs illimités sur des dizaines d'ennemis sans jamais louper leur cible.

 

Après, c'est une histoire vraie donc j'aurais tendance à être plus indulgent mais le traitement reste ultra-conventionnel.

 

Film : 

 

Image : 

 

Son : 

[Kurtkiller]

Grand fan de film de guerre et surtout d histoire vraie dans ce domaine, celui la m avais bien dessus également. 

[Platypus]

 

At Eternity's Gate , de Julian Schnabel

 

Biopic centré sur les années que Van Gogh a passé à Arles, puis à Auvers-sur-Oise jusqu'à sa mort.

Ce qui marque dans ce film, et qui fait regretter qu'il ne sorte pas en salles en France, c'est son aspect visuel très travaillé. Le réalisateur prend régulièrement le point de vue de Van Gogh, de sa folie, de ses phases de transe, joué par un Willem Dafoe totalement génial. Tout est fait dans l'image pour rapprocher ce qui est filmé des œuvres peintes, au risque parfois d'en faire un peu trop, de rendre le tout un peu trop explicatif.

L'acteur principal est totalement investi dans le rôle, et l'approche très picturale de l'image (cadrage, mise en scène, couleur et lumières) lui donne l'air de sortir directement des autoportraits du peintre.

Là où le film s'écarte d'un biopic classique, c'est dans sa façon de mettre en avant l'acte de peindre, le rapport de Van Gogh à son art, à celui des autres, et au monde qui l'entoure, l'histoire du peintre étant finalement amenée au second plan. On ressent d'ailleurs cela avec la présence d'autres acteurs (Oscar Isaac, Mads Mikkelsen, Mathieu Amalric) qui servent uniquement de déclencheurs aux évolutions artistiques de Van Gogh, mais sont souvent vite expédiés, recentrant l'attention sur le peintre et sa folie.

Le réalisateur a aussi pris le parti, peut être discutable, de raconter l'histoire de l'artiste en se basant quelques poins de son histoire sur des théories plutôt que sur des faits  

Révélation

Concernant sa mort, suicide ou meurtre? Ainsi que sur la provenance d'un cahier de dessins retrouvé en 2016, qui d'après les experts serait un faux

 

Un seul point m'a finalement un peu dérangé, c'est le montage parfois  étrange, avec des coupures de l'image/de la musique très brutes, mais qui ne font pas pour autant sortir du film .

 

Bref en tous cas un très bon moment, maintenant je dois regarder "Loving Vincent"

 

 

 

[deepdro]

 

A Quiet Place

 

Je fait rarement de retour de film car 1/ je suis assez nul dans ce domaine et 2/ j’aime pas le faire

C’est aussi assez rare que j’achète une édition sans avoir vu le film, sans connaître l’histoire et en ignorant quasiment tout du film. Je savais seulement que le gars qui joue dans 13 hours et Emily Blunt jouaient dedans... 

 

L’histoire se résume au titre mais voici le synopsis : S’ils vous entendent, ils vous pourchassent. Une famille tente de survivre en silence pour éviter l'attaque de créatures mystérieuses qui identifient leurs proies grâce aux sons émis. Sachant que le moindre murmure peut être fatal, Evelyn et Lee sont déterminés à trouver le moyen de protéger leurs enfants tout en cherchant désespérément un moyen de se défendre.

Le film dure à peine 1h30 mais je l’ai trouvé tellement bien rythmé que c’est largement suffisant. L’histoire est très simple mais très efficace. Il n’y a rien de transcendant mais le tout est vraiment bien équilibré entre l’histoire, les acteurs et l’ambiance. 

 

C’est assez fort de faire un film sur le silence où le son (et l’absence de son) est l’élément crucial. Chaque bruit est limité et en même temps très accentué. 

 

Avec madame Deepdro on s’est très vite attaché aux personnages, le film nous plonge tout de suite dans cette ambiance assez malsaine dans le fond. J’ai trouvé la relation entre les 2 parents très forte (en voyant les bonus j’ai appris qu’ils étaient mariés dans la vraie vie), l’actrice qui joue la jeune fille est très naturelle (toujours d’après les bonus j’ai appris qu’elle étais vraiment malentendante...) et le garçon plutôt bon (lui rien de particulier à signaler). Le tout fait que cette famille finie par être attachante et on espère qu’ils vont s’en sortir. 

 

Vu en VOSTFR via le disque 2D de l’édition UMania. J’ai trouvé l’image super belle, pas de grain et d’une qualité plutôt rare. Pour le son, la qualité de la piste de l’atmos se fait entendre mele sur mon 2.0 mais c’est clairement l’atout majeur dans ce film prenant

 

Film : 

Image : 

Son : 

[vinny91]

@deepdro c'est le seul film dont il ne faut rien, mais rien savoir pour se prendre une énorme claque et être totalement surpris ...

lire le pitch gache enormement le film (avis perso), j'espere que ceux qui n'ont vu le film ne te liront pas, sinon, belle analyse & feedback sur ce film  

[Ben Richards]

 

Citation

À sa sortie de prison, Léo Handler veut se racheter une conduite. Il est embauché dans l’entreprise de son oncle Franck. Son ami Willie, l’initie au méthodes de la société : corruption, trahison, et meurtre. Pour Léo la situation devient explosive…

 

J'avais beaucoup aimé "La Nuit Nous Appartient" & "The Lost City Of Z", il en fut de même avec "The Yards" que je voyais pour la première fois.

James Gray impose toujours une ambiance à ses films & dirige ses acteurs de fort belle manière, le casting est excellents, en tête Joaquim Phoenix & Charlize Theron, que je trouve encore plus sublime aujourd'hui, tant physiquement que dans ses interprétations.

Mark Whalberg joue très bien également, on ressent bien le mec paumé & dépassé par la situation.

La réalisation est top, l'ambiance musicale aussi & le scénario est terriblement accrocheur, j'ai passé un excellent moment de cinéma.

Techniquement, souvent avec l'éditeur BAC, l'image n'est pas glorieuse, cela se confirme, trop peu de moment où l'on ressent la HD & je ne parle pas des scènes de nuit, concernant la VO 5.1 DTS-HD MA, cela reste classique mais c'est le film qui veut ça.

 

Film:

Image:

Son:

Modifié 21 février 2019 par Dark Vador

[magik]

 

At eternity's gate, de Julian Schnabel (Basquiat, Le Scaphandre et le papillon) Netflix

 

Biopic sur les dernières années de Van Gogh, le film possède beaucoup de qualité. Willem Dafoe est formidable (sa nomination aux Oscar cette année est méritée, même si il est peu probable qu'il remporte la statuette), la photo est magnifique (le contraste entre la vie terne de Van Gogh et la luminosité de ses moments de création est plutôt bien trouvé), et la réalisation est intéressante (les plans tournés à la première personne ou les très gros plans légèrement déformants pour signifier la folie du peintre) même si cela tourne parfois à la démonstration. Mais il y a quand même pas mal de petits défauts, notamment la longueur excessive de certaines scènes et le manque de profondeur des personnages secondaires. Au final, un bon film, mais une petite déception tout de même me concernant.

 

 

 

L'Arbre de sang, de Julio Medem (Les Amants du cercle polaire, Tierra, Lucia y el sexo) Netflix

 

J'aime assez le cinema de Julio Medem, toujours très pictural et sensuel. Ici, ces aspects sont toujours présents, mais le réalisateur s'embarque dans une histoire de famille très simple inutilement compliquée par le montage abusant de flashbacks sur différentes temporalités. Il faut s'accrocher un bon moment pour savoir avec exactitude qui est qui et surtout quand. Au final, un film plaisant mais nettement en dessous des précédents long métrages du réalisateur.

 

 

 

Dans la ligne de mire, de Wolfgang Petersen (Das Boot, Air force one)

 

Thriller à l'ancienne d'une grande efficacité, le film vaut surtout pour la confrontation entre Clint Eastwood et John Malkovich. Un bon divertissement qui n'a pas pris une ride.

 

 

 

Nos Batailles, de Guillaume Senez

 

Mélangeant social et drame familial, Nos batailles est porté par la performance de Romain Duris, excellent dans un rôle difficile. Le film n'est pas exempt de défauts mais le rythme est suffisamment soutenu pour retenir l'attention.

 

 

 

Mademoiselle de Joncquières, de Emmanuel Mouret (Changement d'adresse, Un baiser s'il vous plait)

 

Film de vengeance et de manipulation sur fond historique, Mademoiselle de Joncquières prend son temps, quitte à nous faire perdre patiente dans les premières minutes, pour finalement installer son histoire et ne plus lacher le spectateur. C'est intelligent et très bien joué.

 

 

 

The Wife, de Björn Runge

 

Le film vaut principalement pour l'interprétation des acteurs principaux, notamment Glenn Close magistrale dans son rôle de femme de'un prix Nobel. Si le scénario laisse parfois à désirer (on voit venir certaines choses à des kilomètres), la structure en flashbacks fait son petit effet. Oscar de la meilleur actrice en vue.

 

 

 

Le Nombre 23, de Joel Schumacher (8mm, Le Droit de tuer)

 

Déception pour ce film dont j'avais pourtant un bon souvenir. L'histoire est affreusement tirée par les cheveux, la résolution de l'intrigue est un peu ridicule, et les acteurs sont très moyens. Même le côté visuel que je trouvais plutôt pas mal est en fait vu mille fois.

 

 

 

Ruptures et compagnie, de Madeleine Sami & Jackie van Beek (actrices, premier film) Netflix

 

L'idée de départ de cette comédie est plutôt intéressante : deux amies gèrent une entreprise de séparation de couples. Mais passé les 5 premières minutes, on retombe dans de la comédie romantique de bas niveau. A oublier.

 

[ncis28]

 

Je partais avec un gros a priori sur ce film. Le 1 étant un film culte pour moi donc déjà c' était mal barré. Ensuite les différents avis ne me faisait guère envie de le voir. Mais avoir son propre avis est mieux.

 

Point positif : Yvonne.

 

Point négatif : ma critique sur un autre site de collectionneur

 

Pour faire court. C' est dla merde.

 

PS: comment qu' on fait pour mettre les ptites étoiles ? J' en aurais pas mis 5 mais quand même. 

Modifié 24 février 2019 par ncis28

[iPman143]

 
At eternity's gate, de Julian Schnabel (Basquiat, Le Scaphandre et le papillon) Netflix
 
Biopic sur les dernières années de Van Gogh, le film possède beaucoup de qualité. Willem Dafoe est formidable (sa nomination aux Oscar cette année est méritée, même si il est peu probable qu'il remporte la statuette), la photo est magnifique (le contraste entre la vie terne de Van Gogh et la luminosité de ses moments de création est plutôt bien trouvé), et la réalisation est intéressante (les plans tournés à la première personne ou les très gros plans légèrement déformants pour signifier la folie du peintre) même si cela tourne parfois à la démonstration. Mais il y a quand même pas mal de petits défauts, notamment la longueur excessive de certaines scènes et le manque de profondeur des personnages secondaires. Au final, un bon film, mais une petite déception tout de même me concernant.
 

 

 
L'Arbre de sang, de Julio Medem (Les Amants du cercle polaire, Tierra, Lucia y el sexo) Netflix
 
J'aime assez le cinema de Julio Medem, toujours très pictural et sensuel. Ici, ces aspects sont toujours présents, mais le réalisateur s'embarque dans une histoire de famille très simple inutilement compliquée par le montage abusant de flashbacks sur différentes temporalités. Il faut s'accrocher un bon moment pour savoir avec exactitude qui est qui et surtout quand. Au final, un film plaisant mais nettement en dessous des précédents long métrages du réalisateur.
 

 

 
Dans la ligne de mire, de Wolfgang Petersen (Das Boot, Air force one)
 
Thriller à l'ancienne d'une grande efficacité, le film vaut surtout pour la confrontation entre Clint Eastwood et John Malkovich. Un bon divertissement qui n'a pas pris une ride.
 

 

 
Nos Batailles, de Guillaume Senez
 
Mélangeant social et drame familial, Nos batailles est porté par la performance de Romain Duris, excellent dans un rôle difficile. Le film n'est pas exempt de défauts mais le rythme est suffisamment soutenu pour retenir l'attention.
 

 

 
Mademoiselle de Joncquières, de Emmanuel Mouret (Changement d'adresse, Un baiser s'il vous plait)
 
Film de vengeance et de manipulation sur fond historique, Mademoiselle de Joncquières prend son temps, quitte à nous faire perdre patiente dans les premières minutes, pour finalement installer son histoire et ne plus lacher le spectateur. C'est intelligent et très bien joué.
 

 

 
The Wife, de Björn Runge
 
Le film vaut principalement pour l'interprétation des acteurs principaux, notamment Glenn Close magistrale dans son rôle de femme de'un prix Nobel. Si le scénario laisse parfois à désirer (on voit venir certaines choses à des kilomètres), la structure en flashbacks fait son petit effet. Oscar de la meilleur actrice en vue.
 

 

 
Le Nombre 23, de Joel Schumacher (8mm, Le Droit de tuer)
 
Déception pour ce film dont j'avais pourtant un bon souvenir. L'histoire est affreusement tirée par les cheveux, la résolution de l'intrigue est un peu ridicule, et les acteurs sont très moyens. Même le côté visuel que je trouvais plutôt pas mal est en fait vu mille fois.
 

 

 
Ruptures et compagnie, de Madeleine Sami & Jackie van Beek (actrices, premier film) Netflix
 
L'idée de départ de cette comédie est plutôt intéressante : deux amies gèrent une entreprise de séparation de couples. Mais passé les 5 premières minutes, on retombe dans de la comédie romantique de bas niveau. A oublier.
 

Ca m’a fait l’effet inverse pour le numéro 23, souvenir très moyen, j’avais oublié l’histoire,
Ce nouveau visionnage m’a vraiment convaincu

[Hellboy]

 

Je suis loin d'être fan du premier film, je trouve qu'il a mal vieilli et comme je n'ai pas grandi avec, je suis beaucoup moins indulgent. Je crois même que quand j'étais ado je préférais la suite sans l'adorer pour autant. Par contre le troisième avec Adrien Brody était risible.

 

Donc la saga Predator et moi... J'ai toujours préféré le xénomorphe au sang acide à vrai dire. Vu les critiques, je n'attendais pas grand-chose de ce quatrième opus, mais j'avoue que je ne me suis pas ennuyé. Les incohérences sont gigantesques, le film n'innove jamais une seule fois, les scènes d'action sont même assez molles, mais j'ai absolument adoré les dialogues, qui sont plein d'humour et d'ironie. Les personnages sont de gros clichés ambulants mais ils m'ont bien fait rire dans l'ensemble. Alors c'est clairement pas le film qui va me faire adorer la saga, mais c'était loin de la purge que j'attendais.

 

[Ben Richards]

 

Citation

Suite à l’attaque de Pearl Harbor, le 7 décembre 1941, de jeunes américains pleins d’espoirs s’engagent dans l’armée pour défendre leur pays face à l’invasion japonaise. Ces soldats sont envoyés dans les îles du Pacifique où l’ennemi gagne du terrain. Ils n’ont aucune idée de l’enfer qui les attend. Les désillusions se mêlent vite à la peur, et la mort devient leur lot quotidien. Ce qu’ils vont vivre les changera à jamais. Suivez le parcours de trois marines américains (inspirés d’histoires réelles) - Robert Leckie, John Basilone et Eugene Sledge - au lendemain de l’attaque de Pearl Harbor jusqu’au retour à la maison des soldats après la capitulation japonaise…

 

Tout comme "Band Of Borthers", cette série de qualité rend un formidable hommage à tout ces hommes courageux, qui ont connu un enfer qui les a marqué à vie.

La réalisation est somptueuse, les scènes de bataille sont d'un réalisme saisissant & le casting est excellent à l'image de Rami Malek, de James Badge Dale & de Joseph Mazzello.

Techniquement, l'image est somptueuse, les batailles sont d'une lisibilité sans faille & la VO 5.1 DTS-HD MA redoutable, la guerre est dans votre salon!

 

Série:

Image:

Son:

[Ben Richards]

 

Citation

Deux policiers new-yorkais témoins d’un meurtre, capturent le Yakuza après une lutte acharnée. Chargés de l’escorter au Japon, ils se retrouvent plongés au coeur de la puissante et dangereuse mafia d’Osaka…

 

Je pensais déjà l'avoir vu mais en fait non (syndrome @magik?) & tant mieux car j'ai passé un excellent moment, Ridley Scott oblige!

On est dépaysé vu que l'action se déroule en grande partie au Japon, pays que j'aimerais un jour visiter & j'ai bien aimé le lieu sur la fin du film avec sa topographie particulière.

Michael Douglas est top en flic flirtant toujours avec la zone grise & son duo avec son homologue Japonais fonctionne à merveille au fur et à mesure que les deux personnages se côtoient.

Techniquement, l'apport HD se fait sentir mais à de trop rares occasions, on peut avoir largement mieux & pareil pour la VO 6.1 DTS, trop frontale...

 

Film:

Image:

Son:

 

Modifié 2 mars 2019 par Dark Vador

[vinny91]

 

Vu en VO sous titré FR. Piste DTS MA HD 5.1

Inutile de parler du film .... il est assez connus ... pour ses gunfights d'anthologie, notamment la longue séquence dans les appartements & les balcons d'un immense immeuble, avec des cascades et une realisation très dynamique.

 

Je tenais surtout à vous faire un retour sr la qualité video & audio du bluray.

 

Commençons par la partie audio ... c'est pas un top démo, mais une tres bonne piste HD, puissante lorsque c'est nécessaire, des effets avants / arrieres. et dialogue parfaitement clair. 

Pas eu besoin de monter l'ampli, j'ai écouté au même volume sonore que la plupart des blurays.

 

Par contre, l'image .... la qualité oscille pas mal .... Carlotta propose une image globalement de bonne facture, mais qui n'est pas sans défaut. quelques plans comportent du grain. L'avantage de ce master, pas d'utilisation justement abusive de DNR pour lisser l'image. On a aussi un peu de bruit video par moment. 

Mais aucune crainte, les gros plans sont sublimes, on distingue parfaitement la pigmentation sur les visages. 

 

Ayant toujours vu ce film à la télé via les chaines du Sat, ce fut un plaisir de le revoir dans de tres bonne conditions audio. 

 

Bref, une belle édition au final, avec qqs défauts sur l'image dont je fais facilement abstraction pour ce film avec ses scenes cultes. 

[magik]

 

A Star is born, de Bradley Cooper (premier film)

 

Sentiment un peu mitigé à la fin du film. Le début (disons les 45 premières minutes) est parfait, s'ensuit une baisse de régime puis une dernière partie à nouveau très forte. Les deux acteurs principaux sont excellents, la musique est globalement bonne (certains titres sont des tubes instantanés, mais d'autres... je me suis même surpris sur un titre à dire tout haut "mais quelle chanson de merde !") mais je trouve les personnages secondaires trop peu écrits (notamment le manager). Avec le recul, j'ai tout de même envie de le revoir, ce qui est bon signe.

 

 

 

Le Grand Bain, de Gilles Lellouche (Narco)

 

Premier film réalisé en solo par Gilles Lellouche, Le Grand Bain est une bonne surprise. Doté d'un casting solide (dont Poelvoorde et Canet qui prouvent que, bien dirigés, ils sont très bons) et d'un scénario simple mais efficace, le film dresse un joli portrait de groupe à travers des personnages bien écrits et des dialogues et situations bien vus. Pas franchement une comédie (ce que je croyais au départ), le film fait néanmoins sourire à plusieurs reprises et sait être touchant quand il le faut.

 

 

 

The Score, de Frank Oz (interprète de Yoda, réalisateur de Dark Crystal ou In & Out)

 

Un film de braquage au casting béton (De Niro, Norton et Brando), doté d'un scénario classique mais efficace, qui se revoit avec toujours autant de plaisir.

 

 

 

Créance de Sang, de Clint Eastwood (qu'on ne présente plus)

 

Film mineur dans la filmographie d'Eastwood, ce Créance de sang n'en reste pas moins efficace avec un scénario sans temps mort et des acteurs concernés. Un bon film policier sans prétention.

 

 

 

Candyman, de Bernard Rose (Paperhouse, Ludwig Von B.)

 

Classique du cinéma fantastique des années 90, Candyman a plutôt bien vieilli et se revoit avec intérêt, grâce notamment à l'interprétation de Tony Todd et à la mise en scène empreinte de réalisme de Bernard Rose. J'ai également été assez agréablement surpris par le final jusqu'au boutiste que j'avais oublié avec les années.

 

[vinny91]

@magik "A Star is Born" .... "quelle chanson de merde", tu oses ?  toi tu vas finir au cachot 

[magik]

il y a 10 minutes, vinny91 a dit :

@magik "A Star is Born" .... "quelle chanson de merde", tu oses ?  toi tu vas finir au cachot 

Franchement, la chanson au SNL, "why did you do that ?"... Je veux bien être tolérant mais là c'est pas possible, à la fois niveau musique et paroles c'est un calvaire.

[vinny91]

il y a 4 minutes, magik a dit :

Franchement, la chanson au SNL, "why did you do that ?"... Je veux bien être tolérant mais là c'est pas possible, à la fois niveau musique et paroles c'est un calvaire.

 

Attention Spoiler

c'est justement de la merde, car ce n'est absolument pas l'image & les paroles que souhaite le perso de Brad pr Lady Gaga ... elle se lance du R&B, qui ne correspond pas à ce qu'elle sait chanter de mieux et etre sincere dans ses paroles ... et c'est pr cela que le perso de Brad lui dit que c'est de la merde, que c'est vulgaire ... c'est pr montrer la main mise du manager sur l'artiste.

enfin c'est comme cela que je l'ai interpreté