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Messages recommandés

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Le disque 4K.

 

Citation

Après les événements survenus dans Captain America : Civil War, Scott Lang a bien du mal à concilier sa vie de super-héros et ses responsabilités de père. Mais ses réflexions sur les conséquences de ses choix tournent court lorsque Hope van Dyne et le Dr Hank Pym lui confient une nouvelle mission urgente… Scott va devoir renfiler son costume et apprendre à se battre aux côtés de La Guêpe afin de faire la lumière sur des secrets enfouis de longue date…

 

Suite au rythme effréné, la course poursuite en est le meilleure exemple:wahou:, ayant comme seul défaut de rien apporter au MCU.;)

Mais ne boudons pas notre plaisir, on passe un bon moment & Luis est toujours aussi bon raconteur d'histoire!:lol:

En espérant un troisième opus qui nous explique un peu plus les mystères de l'univers quantique & qui apportera une solution au personnage de Ghost.

Techniquement, un peu déçu par cette édition 4K, les couleurs sont un peu terne, un peu dommage, par contre, bon point pour la VO 7.1 Dolby Atmos (en Dolby True HD sur mon ampli), pas besoin de monter le son comme c'est souvent le cas sur les dernières éditions Disney Marvel & les surrounds sont forts bien gérés.:good:

 

Film: :Note35:

Image: :Note35:

Son: :Note4:

 

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detective dee 3.jpg

 

Detective Dee 3, de Tsui Hark (The Blade, Detective Dee 1 & 2)

 

Dans le même esprit que les deux opus précédents, le film fait le job mais est sans surprise. Les qualités (virtuosité de la mise en scène, rythme constant) et les défauts (narration bordélique, CGI parfois dégueulasses) de la saga et de Tsui Hark sont toujours présents.

 

:Note25:

 

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Mowgli, la légende de la jungle, de Andy Serkis (interprète de Gollum, Kong, Cesar...) Netflix

 

Version très sombre et plus proche du livre de Kipling, avec des animaux en motion capture. C'est une véritable réussite, le gamin est extrêmement convaincant, chaque plan pue le sang et la mort, la réalisation est au top, et les animaux sont vraiment bien rendus (même si Baloo ressemble parfois à un vieil alcoolique). Seul le passage dans le village est décevant (trop cliché comparé au reste du film).

 

:Note4:

 

le livre de la jungle.jpg

 

Le Livre de la Jungle, de Jon Favreau (Iron Man)

 

Suite au visionnage de Mowgli, j'ai voulu revoir cette version. Alors c'est vraiment beau, mais malheureusement c'est très niais. Seul le passage dans la cité des singes est à sauver pour moi. Et puis bon c'est Disney, donc il y a des chansons...

 

:Note25: (essentiellement pour l'esthétique du film)

 

under the silver lake.jpg

 

Under the Silver Lake, de David Robert Mitchell (It Follows)

 

Grosse déception pour ce film dont j'attendais beaucoup, une sorte d'enquête surréaliste dans un Hollywood fantasmé. On suit avec un certain intérêt Andrew Garfield au début mais malgré quelques trouvailles, on est globalement devant un scénario sans queue ni tête, avec des trous d'air béants. Dommage, d'autant que la mise en scène est visuellement très soignée.

 

:Note25:

 

une pluie sans fin.jpg

 

Une Pluie sans fin, de Dong Yue (premier film)

 

Polar chinois présenté à Cannes, une pluie sans fin intrigue au début par son scénario malin et son ambiance soignée, mais lasse devant tant de lenteur et de personnages mutiques. 

 

:Note2:

 

the other side of the wind.png

 

The Other side of the wind, de Orson Welles (Citizen Kane, La Soif du mal) Netflix

 

Film inachevé de Welles, on a à la fois excité de voir enfin le film et terrifié à l'idée d'être déçu devant un objet fantasmé depuis tant d'années. Le résultat est de prime abord très curieux, une sorte de film miroir sur la carrière de Welles, avec un film dans le film et des célébrités jouant leur propres rôles (ou presque). Le mélange de différentes sources (8mm, super 35, etc) et l'omniprésence des caméras dans le champ préfigure à la fois les films en found footage et la télé réalité. Il y aurait beaucoup de choses à dire sur ce film testament (notamment sur la partie en couleurs) qui était en avance sur son temps. Un bémol toutefois sur le montage du film, surdécoupé et qui ne permet pas toujours de saisir toutes les subtilités de ce film parfois trop bavard.

 

:Note35:

 

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How to talk to girls at parties, de John Cameron Mitchell (Hedwig and the angry inch, Shortbus, Rabbit Hole)

 

En 1977, une histoire d'amour entre un fan de punk et une extra-terrestre. Dis comme ça, ça a de quoi faire peur. Pourtant, c'est léger, drôle, parfois émouvant. ça commence comme un portrait sous acide de la jeunesse punk pour finalement se transformer en un délire psychédélique coloré. Les interprètes sont tous parfait, notamment Elle Fanning et Nicole Kidman. Une jolie comédie romantique sucrée, esthétiquement réussie et qui fait aussi réfléchir.

 

:Note4:

 

roma.jpeg

 

Roma, de Alfonso Cuaron (Gravity, Y tu mama tambien) Netflix

 

Le voila le film tant attendu, celui qui donne enfin sa légitimité à Netflix dans le monde du cinéma. Et on ne peut que féliciter la firme américaine d'avoir accepté de financer ce long métrage très personnel de Cuaron tant le résultat est brillant. Non seulement c'est techniquement parfait, mais cette histoire toute simple inspirée des souvenirs d'enfance du réalisateur a quelque chose d'universel qui emporte tout sur son passage. Même si c'est parfois un peu long au début (mais ça se justifie plus tard dans le film), on n'est pas loin du chef d'oeuvre.

 

:Note45:

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3d-agents_tres_speciaux_code_uncle_br.0.jpg

 

Citation

Au coeur des années 60, en pleine guerre froide, les agents Napoleon Solo (CIA) et Illya Kuryakin (KGB) sont contraints de laisser de côté leur antagonisme ancestral pour s’engager dans une mission conjointe : mettre hors d’état de nuire une organisation criminelle internationale. Ils n’ont qu’une piste : le contact de la fille d’un scientifique allemand porté disparu.

 

Un bon divertissement malgré un scénario conventionnel mais le trio d'acteurs marche à merveille, en particulier, Henry Cavill & Armie Hammer qui excellent dans leurs rôles d'agents secrets rivaux mais forcés de s'allier, ça donne droit à de bonnes scènes & de bonnes répliques avec une touche d'humour parfois.;)

Et j'ai trouvé Alicia Vikander mieux que dans "Tom Raider" même si j'ai encore des réserves sur son jeu mais elle est tellement mimi en jupe:love: que ça passe crème.:lol:

La réalisation de Guy Ritchie est comme d'habitude stylée & rythmée, on reconnait bien sa patte, je ne serais pas contre une suite.^_^

Techniquement, un master de bonne facture & surtout une VO 7.1 Dolby True HD qui fait des merveilles!:rock:

 

Film: :Note35:

Image: :Note4:

Son: :Note45:

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Pour Roma de Cuaron pour  bcp  c est un chef d oeuvre  moi je suis perplexe, déjà  j ai vu tous ses films  et je n y ai jamais  rien  vu d extraordinaire ,je l ai pas vu en entier car franchement  j ai piqué  du nez plus d une fois,alors oui c est joli mais c est tout un peu comme Andreï  Rublev de Tarkovski ou Barry Lyndon de Kubrick,c est  soit on déteste  soit on adore!☺

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3420946.jpg

 

Citation

Alors que les humains sont attaqués par des choses non définissables, une mère et ses deux enfants se lancent dans un périple désespéré pour rejoindre un camp de survivants.

 

On pouvait espérer quelque chose de bien au vu du scénario mais non, c'est long & du début jusqu'à la fin, on ne sait jamais à quoi sont confronter les protagonistes & comment ça arrive du jour au lendemain...

Si au moins on voyait ce que perçoivent les gens & pourquoi ils se mettent à se suicider mais même ça, rien, du coup, on ne ressent pas grand chose & on a jamais peur & on se fout un peu de ce qui arrive au personnage de Sandra Bullock & aux deux gosses...

 

Film: :Note15:

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Je vais pas faire un roman ce film est plat. Film basique, l' acteur qui joue Solo est aussi charismatique qu' un lampadaire ( L3-37 à plus de personnalité ) niveau visuel ouais ça passe pour un film lambda mais pour un star wars c' est " triste " La rencontre entre les 2 héros est je trouve super bien ( non je rigole ) et les autres acteurs sont d' un bof ( sauf Lando qui tire son épingle du jeu.

Tu changes le non du perso principale, tu retires chewie et tu changes le faucon c' est un ptit film sympa mais pour un star wars c' est assez décevant.

 

Bref film à voir une fois pour se faire une idée et c' est tout.

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3d-brasiers_de_la_colere_br.0.jpg

 

Citation

À Braddock, une banlieue ouvrière américaine, la seule chose dont on hérite de ses parents, c’est la misère. Comme son père, Russell Baze travaille à l’usine, mais son jeune frère Rodney a préféré s’engager dans l’armée, en espérant s’en sortir mieux. Pourtant, après quatre missions difficiles en Irak, Rodney revient brisé émotionnellement et physiquement. Lorsqu’un sale coup envoie Russell en prison, son frère cadet tente de survivre en pariant aux courses et en se vendant dans des combats de boxe. Endetté jusqu’au cou, Rodney se retrouve mêlé aux activités douteuses d’Harlan DeGroat, un caïd local sociopathe et vicieux. Peu après la libération de Russell, Rodney disparaît. Pour tenter de le sauver, Russell va devoir affronter DeGroat et sa bande. Il n’a pas peur. Il sait quoi faire. Et il va le faire, par amour pour son frère, pour sa famille, parce que c’est juste. Et tant pis si cela peut lui coûter la vie.

 

Un bon film qui vaut surtout pour son casting, en tête Christian Bale toujours aussi excellent, pas pour rien qu'il fait parti de mon top 3 des acteurs que j'affectionne le plus!B)

C'est bien réalisé, l'histoire est bonne même si on a déjà vu ça ailleurs mais on a en toile de fond le contexte actuelle de l'Amérique profonde & tout ce qui va avec (guerre d'Irak, crise sociale, etc).

Techniquement, comme souvent avec Metropolitan, on a droit un master de bonne facture, l'image est très lumineuse & la VO 5.1 DTS-HD MA propose des dialogues parfaitement audibles.;)

 

Film: :Note35:

Image: :Note4:

Son: :Note35:

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Il y a 2 heures, ncis28 a dit :

01-166517.jpg?w=500

 

Je vais pas faire un roman ce film est plat. Film basique, l' acteur qui joue Solo est aussi charismatique qu' un lampadaire ( L3-37 à plus de personnalité ) niveau visuel ouais ça passe pour un film lambda mais pour un star wars c' est " triste " La rencontre entre les 2 héros est je trouve super bien ( non je rigole ) et les autres acteurs sont d' un bof ( sauf Lando qui tire son épingle du jeu.

Tu changes le non du perso principale, tu retires chewie et tu changes le faucon c' est un ptit film sympa mais pour un star wars c' est assez décevant.

 

Bref film à voir une fois pour se faire une idée et c' est tout.

C’est pas sympa pour les lampadaires qui nous éclairent la nuit,ce pseudo acteur n’éclaire rien du tout,il faudrait voir si Ron Howard n’avait pas un compte à régler avec Harrison Ford pour détruire autant le personnage. Le comble aurait été de prendre Gosling pour le rôle mais même les paroles pour le rôle de Chewbacca étaient trop compliquée à retenir. 

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Je crois que je préférerais me traîner les testicules à travers un champ de verre cassé et de clous rouillés plutôt que de revoir cette immondice. La seule chose à sauver c'est Naomi Scott.

:Note05:

 

Pour le reste c'est un top démo.

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Vacances de Noël oblige, plusieurs films vus avec les enfants (mais pas seulement) :

 

harry potter.jpg

 

Harry Potter à l'école des sorciers, de Chris Columbus (Maman j'ai raté l'avion, Madame Doubtfire)

 

Pas vu depuis sa sortie au ciné. A l'époque j'avais trouvé ça pas très passionnant et très long. Si quelques effets spéciaux ont vieilli, l'ensemble m'a paru plus digeste cette fois-ci, malgré une grosse baisse de régime en milieu de métrage. A mon sens, le film aurait gagné à être plus court, mais dans l'ensemble cela m'a donné pour la première fois envie de voir enfin la saga en entier.

 

:Note3:

 

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Bean, de Mel Smith

 

Même chose, jamais revu depuis le cinéma. Dans l'ensemble, ça n'a pas trop vieilli, et par delà l'humour inoffensif adapté aux enfants, le film véhicule quelques idées plutôt saines (être heureux c'est important, la famille et les amis c'est essentiel) bien que très clichées. Un bon film familial.

 

:Note35:

 

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Vaiana, de Ron Clements et John Musker (Aladdin, La Petite sirène)

 

Très beau film d'animation au scénario peu convaincant et plombé par des chansons qu'on croirait sorties de La Reine des neiges. A revoir pour un second avis quand j'aurai digéré cette soupe musicale.

 

:Note25:

 

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Coco, de Lee Unkrich et Adrian Molina (Toy Story 3)

 

Disney également parsemé de chansons insipides, mais mieux intégrées que Vaiana car faisant plus ou moins partie de l'intrigue, le film vaut surtout pour sa beauté graphique, notamment le splendide royaume des morts de la culture mexicaine. Le character design est également très réussi. L'histoire est très clichée (encore une fois, la famille c'est bien) et cousue de fil blanc mais dans l'ensemble c'est plutôt sympa.

 

:Note35:

 

eva.jpg

 

Eva, de Benoît Jacquot (Le Septième ciel, Sade, Trois Coeurs)

 

Vendu comme un thriller psychologique, Eva est surtout plat et sans intérêt, pas aidé par des acteurs peu concernés et un scénario proche du néant. A éviter.

 

:Note05: (parce que je n'aime pas mettre 0 à un film)

 

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Bird Box, de Susanne Bier (Brothers, After the wedding) Netflix

 

Souvent comparé à Sans un bruit (la vue remplace le son), Bird Box est avant tout un huis-clos post apocalyptique plutôt bien foutu, et également une métaphore sur l'apprentissage de la maternité. Dommage que les personnages (hormis celui de Sandra Bullock, impeccable dans son rôle) soient si mal écrits (la palme pour celui de John Malkovich) et que certaines pistes intéressantes restent inexplorées. Le film a été édulcoré comparé au livre (notamment sur certains suicides et sur la fin) mais le choix de lui rester fidèle concernant le fait de ne pas nous montrer la menace est cohérent (puisque si on la voit, on meurt). Dernier point, la bande sonore est très réussie. Pas un grand film c'est sûr, mais pas non plus l'arnaque de l'année comme certains ont pu le dire.

 

:Note35:

 

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Flight Plan, de Robert Schwentke (Red, Divergente 2 & 3)

 

Réalisé 10 ans plus tard, le film aurait certainement eu comme acteur principal Liam Neeson et comme metteur en scène Jaume Collet-Serra, tant le scénario de ce thriller se passant dans un lieu unique fait penser à Non Stop ou The Passenger. Ici, le talent de Jodie Foster et l'efficacité du pitch nous font oublier quelques incohérences et le côté n'importe quoi des motivations de chacun. Toujours aussi plaisant malgré de multiples visionnages.

 

:Note35:

 

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Identity, de James Mangold (Logan, Copland, Walk the line)

 

Thriller malin en forme de wodunit semblable aux Dix petits nègres d'Agatha Christie, Identity est toujours aussi efficace malgré sa scène d'introduction qui vend la mèche un peu bêtement. Le casting est excellent, notamment John Cusack (qui depuis s'est perdu dans des DTV sans intérêt sans qu'on comprenne pourquoi), et le film a le mérite d'être assez court et bien rythmé.

 

:Note35:

 

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The Devil & Father Amorth, de William Friedkin (L'Exorciste, Sorcerer, French Connection) Netflix

 

Documentaire montrant un véritable exorcisme pratiqué par le père Amorth, l'exorciste officiel du Vatican, par le réalisateur du mythique L'Exorciste. L'attente est à la hauteur de la déception, tant le film est orienté dès le départ (Friedkin ne cache pas dès le départ qu'il est convaincu de la véracité de ce qu'il montre), et mollement contredit par des experts scientifiques tous également déjà persuadés que ce qu'ils voient est vrai. Si la partie du film montrant l'exorcisme en lui-même est intéresssant, il est dommage d'y percevoir quelques coupes dans le montage ainsi qu'une voix visiblement modifiée pour faire "possédé", ce qui rend le tout moins crédible. Et que dire de la dernière séquence, durant laquelle il s'est passé un truc incroyable, mais pas de bol j'avais pas ma caméra alors je fais une reconstitution bien dégueulasse que même Jean Marc Morandini n'en voudrait pas dans une de ses émissions... Bref, ça fait d'autant plus de peine que Friedkin vient du documentaire à la base.

 

:Note1:

 

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Tropique du Cancer, de Edoardo Mulargia et Gian Paolo Lomi (pleins de trucs inconnus chez nous et proches de la série Z)

 

Tropique du cancer est un giallo dont l'originalité est de se dérouler à Haïti. Ce dépaysement est le seul intérêt de ce film au scénario qui oscille entre l'incompréhensible (la première demi-heure) et le franchement nul (le reste). Les morts s'enchaînent dans l'indifférence générale, les scènes érotiques sont totalement baclées, et les acteurs sont en roue libre. Même le doublage français qui permet souvent de sauver un mauvais film de genre en étant involontairement drôle est ici trop premier degré. Reste la prestation de Anita Strindberg. C'est bien peu.

 

:Note1:

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Il y a 1 heure, Cell a dit :

Identity    :love:

 

C'est un film que j'aime faire découvrir aux profanes, personne n'a jamais compris le twist final dès la scène d'introduction par contre.

Évidemment, si on parle du tout dernier twist (celui des deux dernières minutes), impossible de le voir venir si tôt. Par contre, le twist principal est plutôt évident pour moi dès le départ. Question d’habitude de ce genre de film je suppose.

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Il y a 3 heures, magik a dit :

Évidemment, si on parle du tout dernier twist (celui des deux dernières minutes), impossible de le voir venir si tôt. Par contre, le twist principal est plutôt évident pour moi dès le départ. Question d’habitude de ce genre de film je suppose.

 

Non je parle bien du fait que 

Révélation

Les personnages du motel sont les différentes personnalités du tueur. En général les gens pensent que c'est une histoire en parallèle avec un autre tueur ou un ancien crime.

 

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(modifié)

3d-deepwater_2016_steelbook_br.0.jpg

 

Citation

D’après l’incroyable histoire vraie de la plus grande catastrophe pétrolière de l’histoire. La plateforme Deepwater Horizon tourne non-stop pour tirer profit des 800 millions de litres de pétrole présents dans les profondeurs du golfe du Mexique. Mike Williams, électricien sur la plateforme et père de famille, connaît les risques de son métier mais fait confiance au professionnalisme de son patron Jimmy Harrell. En revanche, tous se méfient de la société locataire de la plateforme dirigée par Donald Vidrine, qui ne pense qu’à son bénéfice. Lorsque cette société décide contre l’avis des techniciens de la déplacer trop rapidement, ils sont loin de se douter que les 5 millions de barils sous leurs pieds sont prêts à exploser… Le seul courage de Mike et ses collègues suffira-t-il à limiter les dégâts et sauver ce qui peut encore l’être ?

 

Un bon film catastrophe, je pensais pas autant aimer, surtout que le début est un peu ennuyant mais une fois sur la plateforme, j'ai pas décroché.

C'est spectaculaire & on ressent vraiment de la tension par rapport aux personnages, le fait que ça se soit vraiment passé renforce ce sentiment.:(

Et c'est toujours un plaisir de voir le charismatique Kurt RusselB), le reste du casting est bon dans l'ensemble, j'ai trouvé que Mark Walhberg jouait juste comme il faut son rôle.;)

Techniquement, un bon master, les scènes d'explosion en mettent plein la vue, par contre, la VO 5.1 DTS-HD MA souffre du syndome M6 Vidéo, on est obligé de monter le son pour les dialogues & du coup, dès que les effets sont là, c'est trop fort...

 

Film: :Note35:

Image: :Note4:

Son: :Note3:

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Il y a 8 heures, Derek a dit :

Tu l’a vu sous quel format celui-là il me tente bien ?

DVD VOSTF, il n'est pas sorti en blu-ray en France (et à ma connaissance il n'existe pas de blu-ray avec STF quelque part dans le monde), et il n'y a pas de VF sur le DVD sorti chez nous.

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Nos_meilleures_annees.jpg

 

Nos Meilleures Années, de Marco Tullio Giordana (Les Cent pas, Une Histoire italienne)

 

Sublime fresque de 6 heures, nos meilleures années suit le destin de deux frères depuis le milieu des années 60 jusqu'au début des années 2000. A travers leur histoire, le film aborde les grands évenements de l'Italie : les inondations de Florence en 1966, les manifestations étudiantes et ouvrières, les Brigades rouges, la Mafia, l'évolution de la médecine psychiatrique et les traitements des malades mentaux, le football, etc. Le film est assez classique dans la forme mais l'important est ailleurs : les comédiens sont exceptionnels, le scénario est passionnant et le rythme est assez soutenu, ce qui fait qu'on ne voit absolument pas le temps passer. Si le film accuse un petit coup de mou d'une vingtaine de minutes sur la fin, la dernière séquence est tellement forte métaphoriquement que c'est vite oublié. Un chef d'oeuvre !

 

:Note5:

 

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Maniac, de William Lustig (Maniac Cop)

 

Film entièrement porté par l'excellent Joe Spinell, Maniac transpire le glauque et le malsain. L'ambiance qui s'en dégage met bien plus mal à l'aise que les scènes gores (très réussies) et dénudées (très peu présentes d'ailleurs, contrairement à ce que je croyais me souvenir). Le film n'a pas du tout vieilli et reste toujours terriblement efficace, mais perd de l'intérêt dans sa seconde partie.

 

:Note3:

 

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Le Secret de la pyramide, de Barry Levinson (Rain Man, Sleepers, Harcelement)

 

Inspiré des écrits de Conan Doyle, ce film sur la jeunesse et la première enquête de Sherlock Holmes n'a pas pris une ride. C'est rythmé, intelligent, remplie de trouvailles visuelles. Produit par Spielberg, on sent bien à travers le film son influence, en pensant selon les séquences à E.T. ou Indiana Jones. Un bon film familial des années 80.

 

:Note35:

 

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Le Venin de la peur, de Lucio Fulci (Frayeurs, L'Enfer des zombies)

 

Dès le début, ça part mal. On navigue quelque part entre le mauvais film érotique ultra kitch et le giallo fauché avant de finalement s'accrocher à l'enquête policière plutôt intéressante. Dommage que la seconde partie du film soit essentiellement des scènes interminables durant lesquelles l'actrice principale se fait courser par un hippie roux, et que la résolution de l'énigme soit truffée d'incohérences.

 

:Note2:

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Il y a 14 heures, magik a dit :

 

le secret de la pyramide.jpg

 

Le Secret de la pyramide, de Barry Levinson (Rain Man, Sleepers, Harcelement)

 

Inspiré des écrits de Conan Doyle, ce film sur la jeunesse et la première enquête de Sherlock Holmes n'a pas pris une ride. C'est rythmé, intelligent, remplie de trouvailles visuelles. Produit par Spielberg, on sent bien à travers le film son influence, en pensant selon les séquences à E.T. ou Indiana Jones. Un bon film familial des années 80.

 

:Note35:

 

 

C'est sur qu'elle support que tu l'as vu STP?

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(modifié)

91XJvKA-AFL._SL1500_.jpgThe Great Battle 

 

Film sud coréen, épique avec d'immenses & tres longues scenes de batailles. Le film raconte le siege d'une forteresse défendue par 5000 hommes, contre une armée de près de 200 000 soldats.

On y retrouve des influences aux films "300" et à "Lord of the Ring". 

Les costumes en armure sont somptueux. 

Si vous aimez les films epic asiatique avec de tres bons combats, alors vous serez pas déçu.

Quand au bluray, image & son au top. Nombreux effets & c'est vraiment dynamique, le caisson apporte pas mal de punch. Les dialogues sont parfaitement clairs & audibles.

Modifié par vinny91
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il y a 5 minutes, vinny91 a dit :

 

Film sud coréen, épique avec d'immenses & tres longues scenes de batailles. Le film raconte le siege d'une forteresse défendue par 5000 hommes, contre une armée de près de 200 000 soldats.

On y retrouve des influences aux films "300" et à "Lord of the Ring". 

Les costumes en armure sont somptueux. 

Si vous aimez les films epic asiatique avec de tres bons combats, alors vous serez pas déçu.

Quand au bluray, image & son au top. Nombreux effets & c'est vraiment dynamique, le caisson apporte pas mal de punch. Les dialogues sont parfaitement clairs & audibles.

 Je crois que tu as oublié de préciser le titre du film @vinny91 😁

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