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Film assez intéressant sur fond de sujet brûlant d'actualités. Le film est plutôt efficace mais finalement à vouloir nous montrer un thriller j'ai trouvé que le film perdait un peu de son intérêt en n'approfondissant pas assez sur les raisons qui les mènent tous à cette radicalisation. Alors on suit le personnage principal jusqu'au dénouement final mais une fois le film fini on l'oublie assez vite alors que le sujet mérite qu'on continue à y penser. Vraiment dommage que Nicolas Boukrhief nous serve là une excellente série B plutôt qu'un film plus dénonciateur et explicatif d'une situation qui ne devrait pas disparaître dans les années à venir.
Côté acteur c'est du tout bon, le jeu de dupes entre Malik Zidi et Dimitri Storoge est vraiment superbement interprété par les deux acteurs.

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Ouaip, bien d'accord. Même partie intégrante de Gringe, ça m'a quand même gêné par moment.
Bah justement, cette impression que tu as sur Orelsan se ressent un peu dans l'écriture, à travers le personnage de Gringe notamment. C'est Orelsan qui a écrit les dialogues et le scénario. Du coup c'est plus ou moins à lui qu'il faut en vouloir pour la vulgarité.

C'est bizarre cette façon qu'a toujours eu Orelsan de partir dans ce délire-là parfois, alors que dans le fond il regorge d'idées intéressantes ce gars. Mais entre son premier album solo, son deuxième, l'album sorti avec les Casseurs Flowters et le film, c'est vrai qu'il peut dire des choses étranges sur les femmes. C'est inutile en fait de placer les mots bites, putes & autres à longueur de temps. Quand c'est mis alors que ça n'apporte rien, pas même un sourire bah je trouve ça lourd à force.

Mais sinon le film est bien sympa oui :) la chanson inachevés en dit beaucoup. Le clip avec la chanson du professeur Xavier de l'album du film est énorme (d'ailleurs qu'est-ce qu'il est drôle ce mec, quelle grande gueule :lol: ).

 

 

Sinon ce soir pour moi, c'était comme @magik : Joint Security Area.
Grand moment d'émotion ce film, vraiment un excellent long métrage.

Modifié par flavsam
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Le commandant du plus puissant sous-marin nucléaire, Franck Ramsey, un vétéran de l’armée américaine engage pour le seconder Ron Hunter nu jeune officier. Leur mission est de se rendre près des côtes soviétiques et d’anéantir, si besoin est, les sous-marins utilisés par les nationalistes radicaux russes, prêts à déclencher une 3ème guerre mondiale. N’étant pas d’accord sur les suites à donner à un message qu’ils viennent d’intercepter, les deux officiers américains vont livrer une guerre psychologique au sein même de leur sous-marin…

Divertissement qui fait son job comme souvent avec le regretté Tony Scott, l'affrontement psychologique entre Gene Hackman & Denzel Washington est plutôt intéressant & permet de voir deux bonnes prestations.

J'aime les films de ce genre, le sous -marin est un lieu assurant toujours de la tension & de ce côté là, on est servi  même si on se doute du dénouement final.;)

Le seul reproche que j'aurais à lui faire, c'est la BO vraiment trop pompeuse & que l'on nous sert un peu trop tout au long de film...

Techniquement, l'apport HD est loin d'être évident, on dira que l'image est propre & bénéficie d'une bonne compression mais on pouvait espérer mieux je pense, par contre, la VO 5.1 PCM  est vraiment le point fort de cette édition.:rock:

Modifié par Dark Vador
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Je viens de regarder "Au coeur de l'ocean" en 2D .... j'ai constaté un probleme sur la VO .... logiquement comme c'est une piste Atmos, les amplis downmixent en Dolby Digital True HD.

Là malheureusment, on a droit à un downmix en Dolby Digital Plus ! est ce un probleme de mon ampli ou bien avez vous aussi constaté ce fait ?

Par contre, la VF est bien downmixé en True HD. J'aimerais savoir si mon exemplaire acheté en France est foireux, ou bien si c'est pour tout le monde pareil.

Merci d'avance pour votre aide ;)

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Plus de 30 ans après la bataille d’Endor, la galaxie subit toujours la tyrannie et l’oppression. Les membres de l’Alliance rebelle, devenus la « Résistance », combattent les vestiges de l’Empire devenu Premier Ordre. Un mystérieux guerrier, Kylo Ren, semble vouer un culte à Dark Vador et pourchasse impitoyablement tout opposant. Au même moment, une jeune femme nommée Rey, pilleuse d’épaves sur la planète désertique Jakku, va faire la rencontre de Finn, un Stormtrooper en fuite. Cette rencontre va bouleverser sa vie…

 

Malgré le fait que l'on est plus le droit à épisode IV bis que réellement un épisode VII avec de la nouveauté, ce "Star Wars" version J.J. Abrams reste un excellent divertissement où le côté nostalgie marche à plein régime!:)

Revoir Han Solo, Chewie & le Faucon Millenium nous ramènent à nos souvenirs d'enfance, pour ma part:D & les nouveaux personnages Finn & Rey se fondent à merveille dans le décor, on a envie de les suivre à travers toute la galaxie!

Sans oublier BB 8, véritable attraction du film même s'il n'arrive pas à faire oublier R2-D2 & C3PO dans notre cœur, malgré le fait de les voir si peu au final...

Le gros point noir du film, outre son aspect "remake", c'est Kylo Ren, le fameux "bad guy" qui a lourde tâche de remplacer Dark Vador (pas moi mais l'autre:ninja:) en serviteur du Côté Obscur mais au charisme déficient, juste bon à piquer des colères quand monsieur est contrarié:rolleyes: & qui se fait presque violer lors du combat final par Rey!B)

Une mise en bouche qui suscite néanmoins des attentes, qui est Snoke, qui compose l'ordre des chevaliers de Ren, pourquoi Luke a joué à où est Charlie si longtemps & qui sont les parents de Rey???

Toutes ces questions nous restent à l'esprit à la fin lors du dernier plan qui vaut le détour à lui tout seul tellement on est sous l'émotion mais en espérant des réponses dans l'épisode VIII ainsi que des nouveautés!

Techniquement, un top démo, l'image est sans défaut & la VO 7.1 DTS-HD MA à la "Force" avec elle!:rock:

Modifié par Dark Vador
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Rivalité dans la troupe du New York City Ballet. Nina est prête à tout pour obtenir le rôle principal du Lac des Cygnes que dirige l’ambigu Thomas. Mais elle se trouve bientôt confrontée à la belle et sensuelle nouvelle recrue, Lily, qui désire le rôle autant qu’elle…

Je ne m'attendais pas à autant apprécier ce film :o, pour tout dire ça faisait plusieurs fois que je reculais le visionnage!:tapfront:

J'ai tout bonnement pas décroché une minute, l'intrigue est captivante, esthétiquement c'est beau, le casting est beau, en même temps avec Nathalie Portman & Mila Cunis:love:, difficile de ne pas tomber sous le charme!^_^

Concernant Nathalie Portman, je crois que c'est le rôle où elle m'a le plus bluffé, son interprétation est excellente, cette fragilité, cette tension psychologique constante mêlé de folie, prête à tout pour être la meilleure au yeux de Vincent Cassel que j'ai trouvé très bon aussi même si je ne suis pas fan plus que ça de cet acteur.

Darren Aronofsky réussi un vrai tour de force dans sa réalisation car on assiste ni plus ni moins à une mise en abîme du "Lac Des Cygnes":amen: & cela donne un film qui tutoie la grâce je dirais presque à chaque instant!

Techniquement, j'avais entendu beaucoup de critiques à l'époque de la sortie du Blu-Ray, je m'attendais à être déçu, au final, j'ai trouvé que l'apport HD est là & je pense qu'il y a un parti pris d'avoir volontaire ce rendu final qui colle bien à l’œuvre. La VO 5.1 DTS-HD MA est très réussie, la BO est mise en valeur.;)

Modifié par Dark Vador
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Il y a 6 heures, magik a dit :

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Il y a 5 heures, MysterDjo a dit :

je connais pas mais je suis suis très fan de l'affiche ! tu nous fera un CR ! ;)

Sound of my voice

Deux journalistes amateurs décident de s'infiltrer dans une secte, avec l'intention de faire un documentaire sur celle-ci et de révéler la dangereuse supercherie de la femme qui la dirige. Cette dernière prétend, en effet, venir de l'an 2054 pour choisir quelques élus qu'elle veut préparer au sombre futur qui approche.

Petit film indépendant, ce Sound of my voice tire le meilleur de son mini-budget grâce à un scénario malin et au jeu parfait de l'actrice Brit Marling (également co-scénariste) dans le rôle de ce gourou new-age assez fascinant. Beaucoup de scènes ne servent à première vue à rien, mais forment finalement un puzzle qui se reconstitue longtemps après la fin du film. Pour tout dire, quand le générique apparaît au bout d'01h20, j'ai hurlé à l'arnaque en disant qu'on a pas le droit de finir un film de cette façon, et en y repensant, il y a pas mal de petits moments qui font sens et permettent d'interpréter ce qu'on a vu de plein de manières différentes (le passage de la chanson notamment - pour rester vague - est très intelligemment construit et peut valider 2 interprétations différentes du film).

Finalement, avec le recul de quelques heures, je recommande vraiment. :)

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Il y a 3 heures, Kurtkiller a dit :

Ça donne quoi shock s'il te plais?

Vu en 3D, j'ai bien aimé ! on a un beau petit casting et les effets spéciaux sont réussis surtout les scènes avec le cachalot et la scène de la tempête.

C'est pas le meilleur de Ron Howard mais ça reste un très bon film ;)

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William Harford et sa femme Alice mènent la vie banale d’un jeune couple new-yorkais… Aussi lorsque Alice révèle à son mari ses fantasmes adultère, William, dévoré par cette troublante confession, cède à la jalousie et au jeu de la tentation. Il entame alors un périple nocturne où ses obsessions le mènent en des lieux étranges et mystérieux…

Film testament du grand Kubrick avec le couple star de l'époque, Tom Cruise & Nicole Kidman, "Eyes Wides Shut" est un film à l'ambiance sulfureuse & mystérieuse où les relations de couples sont explorées de manière troublante.

Troublante en effet car les personnages ne se trompent jamais réellement mais toutes les conséquences sont là, jalousie & comportement excessif arrivent à grand pas & on ne peut que faire le rapprochement entre le couple à l'écran avec celui à le ville (à l'époque), en effet, on savait plus ou moins que le tournage avait des répercussion sur la relation Cruise-Kidman & ils se sépareront quelques temps après.

Néanmoins, l'histoire est prenante, on suit les péripéties nocturnes de William avec envie, c'est bien joué & surtout, très bien filmé.;)

Techniquement, l'apport HD ne se fait pas sentir tout de suite mais au fur & à mesure, il est indéniablement là, le master est propre & la gestion des scènes jour/nuit est bien gérée mais le gros point fort est la VO 5.1 PCM, dialogues très audibles & l'ambiance musicale est fort bien mise en valeur, notamment lors de la scène du château avec tous les gens regardant le cagoulé psalmodier avec cette musique qui fait très secte!:ninja:

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Un champion de billard, ex-arnaqueur invétéré, est devenu représentant en alcools. Quand il fait la connaissance d’un jeune joueur de billard prometteur, les vieux démons remontent à la surface…

Un Scorsese mineur malgré le casting séduisant,Tom Cruise jeune face à Paul Newman vieillissant mais toujours aussi charismatique mais le scénario est quand même assez laborieux, j'ai pas mal de fois regardé l'heure...

J'ai pas trop réussi à rentrer dans le film même si les parties de billards sont bien filmées mais on ressent pas trop d'enjeu, c'est plus les relations entre les protagonistes qui sont mises en avant.

Techniquement, concernant l'image, un DVD upscallé ferait tout aussi bien voir mieux & j'ai dû me coltiné la VF 2.0 Dolby Digitale car il y a bien une VO 5.1 DTS-HD MA mais pas de sous-titre FR!:o

Pourtant, la jaquette mentionne bien les sous-titres FR mais il n'y en vérité que ceux Anglais & Espagnol...

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L’ancien criminel Jacob Sternwood doit quitter sa planque en Islande et revenir à Londres pour aider son fils impliqué dans un casse qui a mal tourné. Un retour au pays qui donne une chance à l’inspecteur Max Lewinsky d’attraper enfin l’homme qu’il n’a cessé de poursuivre depuis trois ans. L’un face à l’autre, c’est une véritable conspiration qu’ils vont mettre à jour et qu’ensemble ils vont devoir déjouer pour rester en vie…

Film sans prétentions si ce n'est de nous divertir, le contrat est rempli, l'histoire tient la route même si c'est du déjà vu,James McAvoy & Mark Strong sont biens dans leurs rôles, sympa de voir aussi le "Gouverneur" de "Walking Dead" au casting:good: & il y a pas mal d'action soutenue par une BO "punchie"!:)

Comme quoi, on ne trouve pas que des nanars à Noz!:lol:

Techniquement, l'image est pas mal, un master HD dans les normes mais le point fort est la VO 5.1 DTS-HD MA qui en a dans le ventre!:rock:

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L’hôtel Dolphin vous accueille dans toutes ses chambres… sauf une. Mike Enslin, écrivain de romans fantastiques, parcourt le globe à la recherche de lieux hantés. Malgré son métier, celui-ci ne croit pas aux fantômes ni aux démons. Son temps passé dans les maisons et cimetières hanté lui a suffisamment donné raison. Il n’avait pas encore visité la chambre 1408…

Sur le papier, on pouvait espérer avoir quelque chose d'intéressant, on y croit jusqu'à ce Mike Enslin entre dans la fameuse chambre 1408 mais après, on décroche, qu'est-ce que c'est laborieux & au final, il ne se passe pas grand chose d'effrayant mais plus quelque chose d'ennuyant...

Dommage car John Cusack livre une prestation plutôt honorable mais ça ne suffit pas...

Techniquement, l'image propose une bonne profondeur de champ mais depuis, on fait mieux quand même sur le support & gros point noir concernant la VO qui n'est qu'en 5.1 Dolby Digital (alors que la VF est en 5.1 DTS-HD MA) même si elle est d'un bon niveau, c'est indigne du support...

Modifié par Dark Vador
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Me suis lancé là-dedans hier soir sur OCS : Prédestinations.

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Une série B assez surprenante dans sa construction, même si on devine quand même pas mal de ficelles au fur-et-à-mesure. Le film paraît assez fauché dans l'ensemble, mais propose quand même de la SF bien foutue, avec les moyens du bord. C'est assez déroutant la façon dont est construit le film, on reste quand même un bon gros moment au même endroit avant de décoller ensuite vers autre chose. Le scénario est sympa, la réalisation suit le pas sans pour autant proposer quoi que ce soit qui se démarque du cinéma du genre. Ethan Hawke est clairement un plus pour le film, un plus pour les réalisateurs. Son capital sympathie fonctionne toujours aussi bien, et il joue toujours avec envie. Sarah Snooke se debrouille plutôt bien également.

Reste qu'au final, on se dit un peu que certes, c'est un divertissement qui se laisse regarder, mais qui reste un peu sans finalité, sans réel but. Il manque quand même un petit quelque chose pour le faire monter d'un cran. Ce petit quelque chose qui l'a d'ailleurs fait atterrir chez nous sans passer par la case ciné. C'est un film divertissant, à voir un jour où on a pas envie de se prendre la tête, mais ce n'est ni un film marquant, ni un film qui sera plaisant à revoir pour ma part. Pourtant il y a de l'envie et de l'idée, ça se sent. Et la SF est un genre tellement sous-exploité et mal exploité, que ce film arrive quand même à faire plaisir par certains côtés. 

Pas grand chose à redire de ce film après coup, pas grand chose à vraiment discuter autour de l'histoire. C'est un divertissement de facture honnête, qui ne dure pas très longtemps (1h30) et qui permet de passer le temps... Mais la forme est très conventionnelle.

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Me suis lancé là-dedans hier soir sur OCS : Prédestinations.

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Une série B assez surprenante dans sa construction, même si on devine quand même pas mal de ficelles au fur-et-à-mesure. Le film paraît assez fauché dans l'ensemble, mais propose quand même de la SF bien foutue, avec les moyens du bord. C'est assez déroutant la façon dont est construit le film, on reste quand même un bon gros moment au même endroit avant de décoller ensuite vers autre chose. Le scénario est sympa, la réalisation suit le pas sans pour autant proposer quoi que ce soit qui se démarque du cinéma du genre. Ethan Hawke est clairement un plus pour le film, un plus pour les réalisateurs. Son capital sympathie fonctionne toujours aussi bien, et il joue toujours avec envie. Sarah Snooke se debrouille plutôt bien également.

Reste qu'au final, on se dit un peu que certes, c'est un divertissement qui se laisse regarder, mais qui reste un peu sans finalité, sans réel but. Il manque quand même un petit quelque chose pour le faire monter d'un cran. Ce petit quelque chose qui l'a d'ailleurs fait atterrir chez nous sans passer par la case ciné. C'est un film divertissant, à voir un jour où on a pas envie de se prendre la tête, mais ce n'est ni un film marquant, ni un film qui sera plaisant à revoir pour ma part. Pourtant il y a de l'envie et de l'idée, ça se sent. Et la SF est un genre tellement sous-exploité et mal exploité, que ce film arrive quand même à faire plaisir par certains côtés. 

Pas grand chose à redire de ce film après coup, pas grand chose à vraiment discuter autour de l'histoire. C'est un divertissement de facture honnête, qui ne dure pas très longtemps (1h30) et qui permet de passer le temps... Mais la forme est très conventionnelle.

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J'avais adoré personnellement. Les révélations temporelles, la réalisation chatoyante, la musique, je m'étais laissé emporté pendant 1h30 dans cette fable atypique.

Modifié par CyberInflames
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Dans un futur proche… Toute personne célibataire est arrêtée, transférée à l’Hôtel et a 45 jours pour trouver l’âme soeur. Passé ce délai, elle sera transformée en l’animal de son choix. Pour échapper à ce destin, un homme s’enfuit et rejoint dans les bois un groupe de résistants ; les Solitaires.

Un film surréaliste, absurde, dérangeant mais au combien touchant, un vrai coup de cœur!:love:

J'ai adoré l'univers, les dialogues, la BO & l'excellent casting, Collin Farrell & Rachel Weisz forment un très beau couple, le seul point noir que j'ai trouvé, c'est Léa Seydoux, c'est physique, j'aime pas sa gueule & son jeu dénote par rapport aux autres...<_<

Du cinéma qui peut rebuter mais si on adhère, on passe un excellent moment.:)

Techniquement, une vraie claque niveau image, une définition ciselée, une profondeur de champ rarement vu, concernant la VO 5.1 DTS-HD MA, elle permet d'apprécier à sa juste valeur l'excellente BO qui participe grandement à l'ambiance du film.;)

Modifié par Dark Vador
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Citation

Adam, un professeur discret, mène une vie paisible avec sa fiancée Mary. Jusqu’au jour où il découvre son double parfait en la personne d’Anthony, un acteur fantasque qui lui ressemble trait pour trait. Stupéfait, il décide de mener l’enquête sur cet autre lui-même. Mais à trop vouloir fouiller dans les secrets que cache cet individu, Adam va plonger dans un engrenage le menant aux portes de la folie.

 

Un film qui propose une vraie ambiance, certes bizarre mais captivante, malgré une fin qui m'a laissé un peu perplexe...:hum:

Jake Gyllenhaal joue à la perfection & on est aussi perdu que lui, dommage que l'on ait pas plus de clés pour tout saisir mais néanmoins, j'ai apprécié, la photographie est superbe & participe cette ambiance si particulière.;)

Techniquement, l'image est sans défaut, les plans larges sont très détaillés & la VO 5.1 DTS-HD MA propose des dialogues bien audibles, par contre, la BO ne laisse pas un souvenir impérissable...

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Version longue.

 

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Les deux monstres cultes des franchises les plus effrayantes de l’histoire s’affrontent pour la première fois ! La découverte d’une Pyramide enterrée en Antarctique conduit un groupe de scientifiques et d’aventuriers sur le continent polaire. Là, ils font une découverte bien plus terrifiante : deux races extraterrestres sont engagées dans leur bataille finale. Peu importe qui sera le vainqueur, nous serons tous perdants.

 

Plaisir coupable:lol: mais il faut bien reconnaître que la rencontre du monstre aux dreadlocks & du xénomorphe ne peut que décevoir, pourtant, il y a de bonnes idées (la pyramide, le rite de passage pour les Predators...) mais la réalisation n'aide pas & souvent les deux monstres frisent le ridicule, un comble!

Reste quelques scènes sympas comme celle du final avec la reine.;)

Techniquement, l'apport HD se fait sentir par rapport au DVD mais depuis, on vu largement mieux quand même, le point fort étant la VO 5.1 DTS-HD MA qui assure un max!:rock:

Modifié par Dark Vador
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Petit compte-rendu de plusieurs films vus ces deux derniers jours : @flavsam @Dark Vador

 

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Il est de retour : vu sur Netflix suite aux bonnes critiques lues ici et là, ce film prend pour point de départ le réveil d'Hitler dans un parc de Berlin 70 ans après la fin de la seconde guerre mondiale, et comment, parti de rien, il tente de reconquérir le pouvoir. Sujet casse gueule traité sur le ton de la comédie, ça sentait très fort le nanar. Et finalement, après une petite demi-heure amusante mais un peu longue sur la réaction des gens dans la rue, le film montre son vrai visage et décrit comment un homme tel qu'Hitler peut se retrouver acclamé par les foules. Filmé à la manière de Borat (un mélange de scènes avec des acteurs et de rencontres avec des vrais gens, dont des membres de l'extreme droite allemande), certaines situations mettent mal à l'aise, et on se dit que si un mec comme ça se présentait à une élection, on serait capable de voter pour lui. Les dernières séquences pendant le générique de fin, couplées à la voix off d'Hitler, font froid dans le dos. Jeu d'acteur pas toujours juste (mais c'est peut-être l'allemand qui me fait penser ça), réalisation parfois dégueulasse, et il ne faut pas avoir peur des blagues sur les juifs.

 

Alabama Monroe : le film en lui-même est exceptionnel, le jeu des acteurs est parfait, la mise en scène et le montage (la déconstruction du temps notamment) sont exemplaires, le scénario est un des plus beaux que j'ai vu ces dernières années, et les séquences musicales sont impressionnantes et transmettent une sorte de plaisir vraiment communicatif. Pourtant, il y a un truc qui m'a gêné : dès le début du film, j'ai deviné que ça allait mal finir (on le sait très vite d'ailleurs), et je me suis senti pris en otage par toute cette émotion qui allait forcément m'engloutir sans que je puisse rien y faire. Toutes ses scènes d'infinie tristesse à l’hôpital, entrecoupées par des moments de plaisir et de joie intenses, elles ont provoqué chez moi un trop plein d'émotion qui ont un peu nuit au plaisir de voir cette histoire forte, trop forte pour moi. J'ai passé mon temps à me mettre à la place de Didier et Elise, à souhaiter que ça n'arrive qu'aux autres et pas à ma famille, c'était à la limite de l'insoutenable. Et pourtant, je n'ai jamais pu stopper le visionnage, comme si voir autant de malheur vécu par procuration me faisait du bien. Et j'ai beaucoup pleuré, pendant une grande partie du film.

C'est un très grand film, c'est certain, mais il a touché quelque chose en moi que je ne veux pas revivre. C'est le second film où je me dis que jamais je ne le reverrai, parce qu'il y a quelque chose de trop pour moi. L'autre, c'est Contre-enquête avec Jean Dujardin. Pas un grand film, mais la scène au début où il découvre sa fille morte, je ne peux pas. Ma fille était née depuis quelques mois quand je l'ai vu et je me suis trop identifié, trop mis à la place de ce père. Alabama Monroe, c'est pareil. Les parents de la petite Maybelle, c'est moi. Pourtant le film est splendide.

 

Série noire pour une nuit blanche : film de John Landis qui sortait de la catastrophe La Quatrième Dimension et du procès qui a suivi (Vic Morrow et deux enfants sont morts pendant le tournage, tués par les pales d'un hélicoptère), avec Jeff Goldblum et Michelle Pfeiffer, jeunes espoirs des studios à l'époque. C'est un mélange assez réussi de comédie, de film policier et de film d'espionnage. Goldblum a un vrai potentiel comique, exploité notamment lors de la scène dans le studio de cinéma, et Michelle Pfeiffer joue beaucoup de son charme pour transformer un personnage au départ assez agaçant en quelque chose de beaucoup plus complexe. Le film se suit avec beaucoup de plaisir, même si il n'est pas exempt de défauts (on se demande bien où sont passés certains personnages à la fin du film).
Côté blu-ray, il faut noter une belle restauration qui fera oublier le transfert assez dégueulasse de mon vieux DVD.

 

White Bird : film de Gregg Araki dans la veine de son Mysterious Skin, avec lents travellings et musique planante datée années 80/90. On suit le parcours d'une fille de 17 ans dont la mère vient de disparaître alors qu'elle-même s'éveille à la sexualité. Mélange de comédie, de polar, de drame familial et d'onirisme, White Bird doit beaucoup à ses interprètes, dont Eva Green, magnifique et toute en retenue. Un beau moment.

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