Derniers visionnages

[Ben Richards]

 

"Mais où est donc passée la 7ème compagnie?"

 

Citation

Fin mai 1940, alors que l’armée allemande attaque sur tous les fronts et oblige les Alliés à se replier, la 7ème compagnie du 108e régiment de transmission est contrainte de se réfugier dans les bois. Le capitaine Dumont décide d’envoyer trois hommes pour surveiller les environs : le chef Chaudard, le téléphoniste Pithivier et le fusilier-mitrailleur Tassin. Entre temps, leur compagnie est repérée et arrêtée par les allemands. Désormais seuls, les trois hommes vivent des jours bucoliques dans la forêt de Machecoul, jusqu’à ce qu’ils entreprennent de voler un dépanneuse allemande…

 

Une comédie que j'ai vu plusieurs fois mais qui me fait toujours autant rire, un classique qui vaut largement mieux que toutes les dernières comédies françaises que l'on voit sortir & qui n'ont de comédie que le nom.

Techniquement, l'image est une bonne surprise, l'apport HD se fait sentir, dommage d'avoir qu'une piste 2.0 DTS-HD MA mais les dialogues sont parfaitement audible.

 

Film:

Image:

Son:

 

 

 

Le disque 4K.

 

Citation

Modeste employée d’un laboratoire gouvernemental ultrasecret, Elisa mène une existence solitaire, d’autant plus isolée qu’elle est muette. Sa vie bascule à jamais lorsqu’elle et sa collègue Zelda découvrent une expérience encore plus secrète que les autres…

 

Film à l'esthétisme soignée , un peu naïf par moment, j'ai globalement apprécié mais je pense que l'on pouvait réduire la durée du film & Guillermo Del Toro aurait pu proposer une réalisation un peu plus audacieuse.

Le casting est excellent, notamment Sally Hawkins qui arrive à faire passer des émotions dans sa gestuelle & son regard alors qu'elle joue un personnage muet & Michael Sahannon incarne à la perfection le "bad guy" de service.

Techniquement, un top démo qui met en valeur les SFX & décors & la VO 5.1 DTS-HD MA souligne à la perfection la musique un brin mélancolique & poétique qui colle parfaitement à l'ambiance du film.

 

Film:

Image:

Son:

[Ben Richards]

 

Citation

1989 - Quelques semaines avant la chute du bloc URSS… L’agent Lorraine Broughton est une des meilleures espionne du service de renseignement britanique, le MI-6. Envoyée seule à Berlin pour récupérer un dossier de la plus haute importance, elle s’associe à David Percival, le chef de station locale ; dans cette ville au climat très instable, commence alors un jeu d’espions des plus meurtriers…

 

Excellente surprise, je pensais pas autant aimer malgré que la BA m'avait intéressé.

La période choisie est très bien retranscrite, Charlize Theron est "badass" à souhait & assure dans les scènes d'action, d'ailleurs, ses dernières sont super bien filmées, violentes comme il faut, pas de "faut sang" numérique, rien ne vaut les anciennes méthodes!

L'histoire, ce jeu du chat & de la souris sur fond de chute du Mur de Berlin avec une BO 80's, est accrocheuse même si on se doute un peu comment ça va finir mais c'est tellement bien réalisé & le film a une très belle photographie, très flashy, très années 80.

Techniquement, l'image est nikel & la VO 7.1 DTS-HD MA est très pêchue!

 

Film:

Image:

Son:

[magik]

 

Fog, de John Carpenter (Halloween, New York 1997, Invasion Los Angeles, etc.)

 

Pas revu depuis au moins 15 ans, j'avais le souvenir d'une série B d'horreur mal fichue, mal jouée et manquant affreusement de rythme. Finalement c'est plutôt solide, le film ne paraît pas du tout daté (c'est sans doute grâce au nouveau master 4K) et est très plaisant à suivre. Et je ne sais pas pourquoi, mais il m'a beaucoup fait penser à Prince des Ténèbres (que j'aime beaucoup) du même réalisateur alors que pourtant ça n'a pas grand chose à voir.

 

 

 

Appel inconnu, de Dani de la Torre (premier film)

 

Petit thriller espagnol qui lorgne du côté du cinéma américain et reproduit ses qualités (du rythme, de la tension) et ses défauts (des personnages mal écrits, un scénario un peu brouillon). C'est sans surprise mais efficace.

 

 

 

Lazarus Effect, de David Gelb (premier film)

 

Scénario déjà vu, effets de jump scare classiques, acteurs peu concernés, des incohérences en veux tu en voila... A oublier au plus vite.

 

 

 

Peter et Elliott le Dragon, de David Lowery (A Ghost Story)

 

Inspiré du classique de Disney, ce film live abandonne les chansons et ne garde que cette histoire d'amitié entre un jeune garçon et un dragon. Proposant un joli message de tolérance et de respect de la nature, le film vaut surtout pour ses effets spéciaux réussis de la bestiole, pour le jeu concerné des acteurs et la belle musique composée par Daniel Hart. Le jeune public appréciera, même si la première séquence risque d'être un peu dure à regarder.

 

 

 

Meurtre à Alcatraz, de Marc Rocco

 

Adapté d'une histoire vraie, ce film de procès retient l'attention par son interprétation exceptionnelle (Kevin Bacon et Gary Oldman sont parfaits) et son scénario solide, malgré des longueurs et des passages qui n'apportent rien à l'histoire. Dommage que la réalisation soit aussi "télévisuelle".

 

 

 

La Sentinelle des Maudits, de Michael Winner (Un Justicier dans la vile)

 

Un film d'épouvante méconnu mais très réussi, qui fait parfois penser à Rosemary's Baby mais sans le copier. Le scénario est assez travaillé et la dernière partie est surprenante, le film est tout en retenue mais la tension est bien présente, et est fréquenté par beaucoup de seconds rôles de talent (Christopher Walken, Ava Gardner, Jeff Goldblum, Burgess Meredith, Eli Wallach...)

 

 

 

Un Couteau dans le coeur, de Yann Gonzalez (Les Rencontres d'après minuit)

 

Si vous aimez les giallo, l'imagerie porno gay des années 70, les acteurs approximatifs, les rythmes lents et décousus, les films dans le film, ce film est pour vous. Pour les autres, passez tranquillement votre chemin. Pour ma part, je n'ai pas du tout adhéré à ce parti pris du réalisateur de filmer de cette manière, et les acteurs volontairement à côté de la plaque m'ont vite exaspéré. Quelques jolis scènes tout de même, mais c'est trop peu pour rattraper l'ensemble.

 

 

 

La Course au jouet, de Brian Levant (Beethoven, La Famille Pierrafeu)

 

Les choix de mes enfants. Première fois que je revois ce film depuis sa sortie il y a plus de 20 ans. Schwarzenegger est toujours un aussi piètre acteur de comédie et l'histoire est ultra prévisible, mais c'est mignon, plein de bons sentiments et se regarde sans ennui.

 

[grandbaton]

Pour resituer :

J'ai lu les livres 1 à 6 plusieurs fois chacun à l'époque, la dernière fois que j'en ai lu un ça devait être en 2006.

J'ai vu les films 1, 2, 3 au ciné puis en DVD et le 6 au ciné.

J'ai été très fan au début, mais je n'ai plus rien vu ni touché de cette saga depuis 2007. C'est donc une grosse piqure de rappel.

(et ouais vous avez bien lu : pas de trace de la 7ème année !)

 

Dimanche soir : Harry Potter à l'école des sorciers (version longue)

M.A.G.I.Q.U.E.

Ca tombe bien c'est le sujet !

Tout est génial dans cette adaptation, la musique, l'imagerie, la loufoquerie d'a peu près tout ce qui tombe dans le cadre. J.K.Rowling a écrit un chef d'œuvre et Chris Colombus a merveilleusement bien su le retranscrire à l'écran.

Même en connaissant déjà, on ressent toujours la même chose en regardant !

Les gamins sont un peu têtes à claques, mais les personnages ayant 11ans...

 

 

Lundi soir : Harry Potter et la chambre des secrets (version longue)

La tout de suite j'ai un peu moins aprécié, Chris Colombus s'est surement un peu reposé sur le succès du 1er, celui-ci est plus niais. A l'époque (j'avais 12ans) j'ai adoré pour le gros serpent et les araignée. 16ans plus tard c'est plus trop la même. 9a reste un bon film, mais loin du niveau du 1er.

Reste que scénaristiquement pour un second volet ça approfondi bien l'univers (coucou" la déception fantastique 2")

 

 

Mardi soir : Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban

Excellent volet ! Les acteurs s'approprient bien les rôles et c'est toujours la principale force de la saga. Même si je voue un culte à Chris Colombus pour son boulot sur le 1er film, le changement était nécessaire et est salutaire. Le film est plus sombre, plus mature, y'a plus de suspens, plus de rebondissement, la scène finale est magistrale (nom d'un hippogriffe : une scène d'une heure t'as déjà vu ça ?!) 

 

 

Mercredi soir : Harry Potter et la coupe de feu

Là on entre dans ce que je n'ai pas vu à l'époque.

Et j'en ressort assez mitigé : C'est certainement mon bouquin préféré de la saga, mais alors quelle adaptation torchée !

Comme pour les précédents les acteurs sont géniaux, ils gagnent bien en maturité.

Mais on sent que le réalisateurs a été embauché pour relever la barre du ratage au box office du 3 : le film s'attarde bien plus sur les émotions des ados (bon c'est pas forcément mal en soit vu la cible et vu le succès qu'il a connu) au détriment de l'avancée du scénario.

Là ou le second volet se permettait 2h54, celui-ci boucle à 2h37 et comporte un nombre d'ellipses scénaristiques impressionnantes. C'est bien simple : plus de 12 ans que j'ai pas lu le livre, et toutes les 2 scènes je me disait "mais il manque tel truc c'est pas possible"

Modifié 29 novembre 2018 par grandbaton

[Hellboy]

Le 19/11/2018 à 11:17, magik a dit :

Si vous aimez l'imagerie porno gay des années 70

 

L'as-tu recommandé à @Dark Vador ?

[Ben Richards]

Il y a 4 heures, Cell a dit :

 

L'as-tu recommandé à @Dark Vador ?

Pour part, le porno chic, le gonzo pour @Nonox , je laisse le porno gay des années 70 au trio @deepdro, @Thanos & @angeldelamuerte...

[deepdro]

Il y a 9 heures, Dark Vador a dit :

Pour part, le porno chic, le gonzo pour @Nonox , je laisse le porno gay des années 70 au trio @deepdro, @Thanos & @angeldelamuerte...

Surprenant... tu étais pourtant très bon au casting

Révélation

 

[Ben Richards]

Il y a 3 heures, deepdro a dit :

Surprenant... tu étais pourtant très bon au casting

  Révéler le contenu masqué

 

Je comprends mieux pourquoi @Thanos m'a emprunté ma tenue, il devait se rende à une soirée costumée chez @angeldelamuerte, d'ailleurs, tu devais y être aussi @deepdro...

Révélation

 

[Ben Richards]

 

"On A Retrouvé La 7ème Compagnie".

 

Citation

En mai 1940, le lieutenant Duvauchel, le chef Chaudard, et les soldats Pithivier et Tassin poursuivent leur débâcle personnelle à bord d’une dépanneuse de chars, dérobée à l’ennemi. C’est grâce à cette dépanneuse qu’ils font évader leur compagnie prisonnière… Au cours de ces retrouvailles mouvementées, ils sont pris pour des héros. Ils vont se retrouver, le plus souvent malgré eux, impliqués dans une série d’aventures rocambolesques.

 

Suite dans laquelle on retrouve à avec plaisir nos 3 soldats de "choc" qui nous font toujours autant rire.

Techniquement, au contraire du premier, on se retrouve devant un bon DVD upscallé, dommage & concernant la VF 2.0 DTS-HD MA, elle a le mérite de proposer des dialogues parfaitement audibles.

 

Film:

Image:

Son:

 

"La 7ème Compagnie Au Clair De Lune."

 

Citation

Dans ce troisième et dernier volet, les trois héros de la 7ème compagnie ont été démobilisés après leur évasion. Redevenu quincailler dans une petite ville de province, le chef Chaudard a invité ses anciens camarades de combat Pithivier et Tassin. Il ignore que sa femme fait de la résistance, et qu’elle cache un officier dans la cave du magasin.

 

C'est celui que je me rappelais le moins mais on passe un bon moment, cette fois-ci, nos protagonistes sont dans la vie civile en période d'occupation & ça donne lieu à des quiproquos par rapport à leurs "héroïques exploits".

Techniquement, on retrouve l'apport HD que l'on avait sur le un concernant l'image & le son est comme pour les autres films, surtout les dialogues mis en avant.

 

Film:

Image:

Son:

 

 

Le disque 4K.

 

Citation

Lara Croft, 21 ans, n’a ni projet, ni ambition : fille d’un explorateur excentrique porté disparu depuis sept ans, cette jeune femme rebelle et indépendante refuse de reprendre l’empire de son père. Convaincue qu’il n’est pas mort, elle met le cap sur la destination où son père a été vu pour la dernière fois : la tombe légendaire d’une île mythique au large du Japon. Mais le voyage se révèle des plus périlleux et il lui faudra affronter d’innombrables ennemis et repousser ses propres limites pour devenir « Tomb Raider »…

 

Je ne pensais pas que l'on pouvait faire aussi pire que les deux "Tomb Raider" avec Angelina Jolie, j'avais tord...😅

Je me suis ennuyé comme c'est pas possible, l'histoire aurait pu être intéressante mais la réalisation est tellement molle, les scènes d'action sont peu inspirées & ne dégagent aucunes tensions & la protagoniste principale, Alicia Vikander, certes, bien mignonne ne laisse transparaître aucunes émotions, à part crier comme si elle jouait en fond de court à Roland Garros à chaque saut...

Et on parlera pas du "bad guy" de service que l'on oublie vite tellement on en a déjà vu tant dans ce type de production...

Je crois qu'il est préférable que certaines icônes du jeux vidéos n'aillent jamais sur grand écran car à chaque fois, on a droit à des navets!

Techniquement, rien à redire, un top démo, les plans larges sont magnifiques & la VO 5.1 DTS-HD MA envoie du lourd.

 

Film:

Image:

Son:

Modifié 30 novembre 2018 par Dark Vador

[Ben Richards]

 

Citation

Le destin de quatre lycéens en retenue bascule lorsqu’ils sont aspirés dans le monde de Jumanji. Après avoir découvert une vieille console contenant un jeu vidéo dont ils n’avaient jamais entendu parler, les quatre jeunes se retrouvent mystérieusement propulsés au coeur de la jungle de Jumanji, dans le corps de leurs avatars. Ils vont rapidement découvrir que l’on ne joue pas à Jumanji, c’est le jeu qui joue avec vous… Pour revenir dans le monde réel, il va leur falloir affronter les pires dangers et triompher de l’ultime aventure. Sinon, ils resteront à jamais prisonniers de Jumanji…

 

Je m'attendais au pire & au contraire, j'ai passé un bon moment, enfin un film bon avec "The Rock"!

Je redoutais le passage du jeu de plateau au jeu vidéo mais j'ai trouvé ça plutôt une bonne idée tout compte fait, l'aspect gestion des vies, des forces & faiblesses des avatars sont cools & ça donne lieu à de bonnes scènes d'action & aussi de rigolades.

On sent que le casting s'amuse bien, j'ai bien aimé Jack Black jouant une fille dans le corps d'un homme & tout cela comporte de découverte pour la dite jeune fille ou The Rock qui joue de son statut de mal qui n'a peur de rien d'habitude & de son impressionnant physique.

Le "Jumanji" avec Robin Williams a toujours une place à part dans mon cœur mais je dois reconnaître que cette suite a su mettre au goût du jour ce titre mythique sans en trahir l'esprit, chose qui rare pour le souligner.

Techniquement, un master HD nikel, les SFX sont mis en valeur & la VO 5.1 DTS-HD MA est juste monstrueuse, caisson de basse & surrounds sont mis largement à profit!

 

Film:

Image:

Son:

Modifié 30 novembre 2018 par Dark Vador

[deepdro]

Tout pareil ^^

Je m’attendais vraiment à une grosse bouse mais finalement l’adaptation est très bien fait, ils ont pas copier le premier mais ils l’ont moderniser plutôt intelligemment. C’est pas le film du siècle mais c’est un bon divertissement  

[ncis28]

Oui et puis

 

Révélation

 

[Ben Richards]

Hier soir, sur le replay de OCS, "L'armée Des Ombres".
Un chef d'oeuvre & je pèse mes mots.
Il me faut le Blu-ray maintenant.[emoji41]

Envoyé de mon SM-A520F en utilisant Tapatalk

[vinny91]

Visionnage de cet aprem : le dernier opus, Mission Impossible Fallout (perso, pr l'instant le meilleur de la franchise).

 

Vu en VO (bluray 2D) Dolby Atmos, qui downmix en Dolby True HD 7.1 , coté sonore, c'est un sans faute dialogues, effets multicanaux, de la reverb lors de certaines scenes, piste tres tres punchy lorsque c'est nécessaire.

La musique, qui est un ingredient essentiel au film, m'a de suite fait penser à un tres grand compositeur, et pour ce n'est pas lui, alors sachant cela, ça me gene car l'artiste pompe (ou non) tous les ingredients musicaux de ce compositeur tres connus.

Bref, la musique du film est excellente, même si ce n'est pas ce grand compositeur qui en est à l'origine.

 

Quand à l'image du bluray : le film fait 2h27 .... ça oscille entre le bon/moyen, le tres bon et le somptueux (je vous garantie que vous allez vous prendre une mega claque durant certaines scènes, du jamais vu en terme de qualité en 2D).

Pour ceux qui ne le savent pas .... il y a des changements de ratio pendant le film, vous l'aurez surement compris .... certaines scenes sont en iMAX d'où cette qualité d'image à tomber 

 

Le film enchaine scenes d'actions, avec une histoire qui tient la route, on a envie d'y croire .... les cascades à travers les grandes villes sont jouissives. On retourne un peu à l'essence même des films d'espionnage, avec bien sûr les gadgets ... 

Finis les vannes pourries toutes les 5min .... là ça redevient plus sérieux.

 

Perso, j'ai pris un pied d'enfer en matant ce Mission Impossible. Il est un cran au dessus de MI:3 pr moi, logique JJ Abrahms est ici le producteur.

Je ne vous spoilerais rien .... juste vous dire que des scenes & répliques font reférences ou tres similaires à une tres grande trilogie (récente)  

 

Bon visionnage, montez le son .... et surtout ne manquez pas ce grand film divertissant !!!!!!!!!!!!

 

Ah, juste une critique .... ne regardez pas le generique de début car ça spoile pas mal le film, ça fait tres bande annonce dans le genre et c'est dommage.

 

[Kurtkiller]

MI 4 était comme ça aussi avec le générique et c’est assez gênant en effet

[iPman143]

Les 6 films forment tout de même un bel ensemble, pour ma part le 2 reste énormément too much comparé aux autres.

[Kurtkiller]

Le 2 est too much et le 1 à tres mal vieilli je trouve

[Hellboy]

 

D'après ce que je vois sur Internet, le réalisateur divise autant qu'il fédère. Le problème c'est que je n'ai vu qu'un seul de ses films, et c'était le fameux La Vie d'Adèle. Il avait fait beaucoup de bruit à sa sortie, et à juste titre. Je l'ai quand même apprécié comme il a été tourné dans ma ville et que j'ai passé un bon moment devant, même si je le trouvais légèrement vain dans sa démarche.

 

Avec Mektoub, on pourra faire exactement le même reproche. Le cinéaste se contente de suivre les vacances d'une bande de jeunes "tout beau tout propre" à Sète en 1994.

 

Déjà, je n'ai pas vraiment l'impression que ce choix d'époque change quoi que ce soit au pitch. D'ailleurs j'ai remarqué qu'il y avait plusieurs expressions et façons de parler des personnages qui ne devaient pas exister dans les années 90.  Mais qu'importe, ce n'est pas le propos du film, car il se concentre surtout sur des histoires de cœur. J'avoue que de ce côté, j'ai été plutôt surpris.

 

Ça commence avec une scène de sexe  crue (je répète ce que j'ai dit dans un autre sujet, rien que pour ça le film ne devrait pas être Tous Publics) mais qui ne dure pas très longtemps quand on la compare avec celles de La Vie d'Adèle. Au lieu de s'attarder sur l'ébat en lui-même de manière voyeuriste comme il l'aurait certainement fait par le passé, le cinéaste préfère porter toute son attention sur son actrice après l'acte, la filmant sous tous les angles avec une admiration qui transpire à l'écran (la callipyge Ophélie Bau est incroyable). Et c'est ce qu'il va continuer de faire pendant presque trois heures, filmer de jeunes amoureux sous tous les angles et capter le moindre petit geste ou expression en rapport avec leurs histoires de cœur.

 

En résulte un film où il ne se passe pas grand-chose, avec très peu d'enjeux. Mais c'est là que j'ai été surpris malgré moi, car après cette introduction très rentre-dedans, j'attendais une succession d'ébats amoureux, alors que le personnage principal se pose plutôt en spectateur et laisse les choses se dérouler sous ses yeux sans jamais intervenir. J'ai eu un peu l'impression que le réalisateur se projetait à travers lui en tant que témoin des événements mais jamais en acteur.

 

Cela peut même devenir frustrant quand on voit la timidité et l'inaction du personnage face à cette troupe d'actrices absolument solaires que Kechiche met en valeur dans le moindre plan. Mais on peut aussi, comme moi, s'y retrouver, en tant qu'adolescent maladroit et passif. 

 

Pour conclure, il est évident que le film ne plaira pas à tout le monde et même que certains vont le détester. Je peux tout à fait le comprendre car si on fait le bilan de ces 2h50, rien de notable n'était à retenir. De mon côté, je ne peux pas dire m'être ennuyé, j'avais plutôt envie de les rejoindre sur la plage, en boîte ou même dans cette bergerie que le

personnage arpente dans l'espoir de prendre en photo la naissance d'un agneau. Cette dernière est-elle symbolique d'un renouveau pour le réalisateur ? Réponse dans la suite qui sortira l'année prochaine. En attendant, il y a une maturation certaine par rapport à son précédent film.

 

[Ben Richards]

 

 

Le disque 4K.

 

Citation

Il y a des missions que l’on ne choisit pas… Alors qu’Ethan Hunt est chargé de récupérer du plutonium volé, il décide de sauver son équipe plutôt que de mener à bien cette mission. Les armes nucléaires se retrouvent ainsi dans les mains d’une organisation criminelle dont le but est de détruire notre civilisation. Ethan et son équipe de l’IMF doivent, contre leur gré, s’associer à un agent de la CIA pour retrouver le plutonium avant qu’il ne soit trop tard…

 

J'ai encore pris un immense plaisir à revoir ce nouvel opus, l'édition 4K étant tout bonnement indispensable!

On ne s'ennuie pas une minute, les scènes d'action sont époustouflantes, surtout le final en IMAX, couplé à la 4K, on a juste envie de chialer tellement c'est beau!

Tom Cruise est au top de sa forme & le reste du casting est au diapason, la réalisation est nerveuse & magnifie les lieux visités, sans oublier une BO très "Hanz Zimmer" qui nous immerge complètement dans l'ambiance du film, une pure réussite!

Vous l'aurez compris, l'un des meilleurs Blockbusters de ces dernières années, le meilleure de la franchise, du moins jusqu'au prochain?

Techniquement, une édition 4K que je range aux côtés de "The Dark Knight" & "The Dark Knight Rises" tellement la barre est haute, on en prend plein les yeux lors des scènes en IMAX & la VO 7.1 Dolby Atmos (en Dolby True HD sur mon ampli) est un pure chef d’œuvre même à faible volume!

Une expérience de home cinéphile comme on en a rarement, proche de l'orgasme visuel & sonore!

Film:

Image:

Son:

Modifié 7 décembre 2018 par Dark Vador

[Gaël]

Superbe image lors des scenes 4 k; en comparaison le reste est plus ou moins décevant du coup..(malgré la 4k..) 

Sinon c'est le genre de films que je regarde avec un certains plaisir pour les scenes d'actions  , mais je sais pas pourquoi je  garde.. j'ai envie de m'en séparer et à la fois j'y arrive pas bizarrement, vraiment space.. :/

 

[Ben Richards]

il y a 20 minutes, Gaël a dit :

Superbe image lors des scenes 4 k; en comparaison le reste est plus ou moins décevant du coup..(malgré la 4k..) 

Sinon c'est le genre de films que je regarde avec un certains plaisir pour les scenes d'actions  , mais je sais pas pourquoi je  garde.. j'ai envie de m'en séparer et à la fois j'y arrive pas bizarrement, vraiment space.. 😕

 

Les passages non IMAX, c'est sûr on voit la différence mais ça le fait pour chaque film qui utilise ce procédé que ça soit en Blu-Ray standard ou 4K mais ces passages restent quand même largement supérieur à la définition d'un Blu-Ray simple, surtout sur les plans larges, il n'y a pas photo en terme de luminosité.

Modifié 8 décembre 2018 par Dark Vador

[Derek]

il y a 18 minutes, Dark Vador a dit :

Les passages non IMAX, c'est sûr on voit la différence mais ça le fait pour chaque film qui utilise ce procédé que ça soit en Blu-Ray standard ou 4K mais ces passages restent quand même largement supérieur à la définition d'un Blu-Ray simple, surtout sur les plans larges, il n'y a pas photo en terme de luminosité.

Où je ne suis pas d’accord avec toi c’est sur la comparaison avec The Dark Knight que j’ai trouvé très supérieur. J’ai regardé M.I hier soir et la qualité visuel m’a légèrement déçu,pour un film aussi récent (comparé à TDK) j’attendais mieux,il y a plus de grain,l’image est moins pure,je sais que c’est volontaire et non un défaut mais j’ai moins eu l’effet wahou que pour Batman.

Ca reste quand même et là je te rejoins totalement,une super expérience sur la scène de poursuite et ça ne remets pas en cause la qualité du film

Il y a aussi une certaine habitude qui va s’installer 

[Ben Richards]

il y a 5 minutes, Derek a dit :

Où je ne suis pas d’accord avec toi c’est sur la comparaison avec The Dark Knight que j’ai trouvé très supérieur. J’ai regardé M.I hier soir et la qualité visuel m’a légèrement déçu,pour un film aussi récent (comparé à TDK) j’attendais mieux,il y a plus de grain,l’image est moins pure,je sais que c’est volontaire et non un défaut mais j’ai moins eu l’effet wahou que pour Batman.

Ca reste quand même et là je te rejoins totalement,une super expérience sur la scène de poursuite et ça ne remets pas en cause la qualité du film

Il y a aussi une certaine habitude qui va s’installer 

Le grain ne me gêne nullement & ça n'a pas une incidence énorme sur la luminosité, je reste sur mon ressentie, on est sur de très bon niveau.

[magik]

 

 

Creepshow, de George A. Romero (la trilogie des morts-vivants)

Creepshow 2, de Michael Gornick (directeur photo de plusieurs films de Romero)

 

Deux films à sketchs des années 80, scénarisés par Stephen King. Le résultat, comme tout film à sketchs, est très inégal.

Le premier film est certainement le meilleur, avec plusieurs histoires intéressantes, notamment les deux segments adaptés de nouvelles de Stephen King (La Caisse et La Mort solitaire de Jordy Verrill).

Le second film est une grosse déception, surtout la seconde histoire (Le Radeau) qui m'avait bien fait flipper quand j'étais petit mais qui est juste ridicule et affreusement mal joué. Il est cependant sauvé par le premier segment (Le Vieux chef tête de bois), assez efficace. Par contre, les parties animées entre les sketchs sont absolument dégueulasses.

 

 (Creepshow)

 (Creepshow 2)

 

 

Plaire, aimer et courir vite, de Christophe Honoré (Les Chansons d'amour, Dans Paris)

 

Grosse déception pour ce film qui semble autobiographique (les deux personnages principaux semblent représenter le réalisateur jeune et le réalisateur aujourd'hui) et se veut réalistes, mais se perd dans des dialogues vains et pompeux. C'est très bien joué, mais on s'en fout un peu.

 

 

 

Les Garçons sauvages, de Bertrand Mandico (premier long-métrage)

 

Un véritable OVNI. Ce film fait penser tout à tour à du David Lynch, du Guy Maddin et au Begotten de E. Elias Merhige, mais au final ne ressemble à rien de connu et impose son propre style. Difficile à décrire, le film est une sorte de voyage hypnotisant. On pourra facilement détester. Moi j'ai adoré. Un de mes films de l'année.

 

 

 

Copycat, de Jon Amiel (Haute Voltige, Fusion)

 

Solide thriller des années 90, Copycat n'a pas trop vieilli, si on excepte certains accessoires (les PC sous ms-dos ou les téléphones portables qui pèsent 10kg, par exemple). Le scénario est efficace et le casting bien choisi (Harry Connick Jr est flippant à souhait). Je l'ai revu avec plaisir.

 

 

 

Cam, de Daniel Goldhaber (premier film) Netflix

 

Basé sur le phénomène des Cam Girls (ces filles qui font des shows érotiques sur le net contre rémunération), ce thriller vaguement psychologique contient de bonnes idées malheureusement pas vraiment exploitées, et la première partie du film est plutôt molle (un comble pour un film sur le sexe ^^). Reste l'interprétation de l'actrice principale, et quelques bonnes scènes. Dommage, il y avait de quoi faire sur le sujet.

 

 

 

Outlaw King : le Roi hors-la-loi, de David Mackenzie (Hell or high water) Netflix

 

On pense forcement au grandiose Braveheart en regardant ce film qui reprend là où le film de Mel Gibson s'arrête. Et la comparaison fait mal à Outlaw King en général et à Chris Pine en particulier. Celui-ci n'a à mon sens pas le charisme nécessaire pour un tel rôle, et est passablement énervant. Certain(e)s seront néanmoins ravi de sa performance puisque l'on aperçoit son kiki...

A peine sauvé par des décors naturels splendides et une superbe photo, le film est une grosse déception.

 

 

 

La Ballade de Busters Scruggs, des frères Coen (Fargo, True Grit, etc.) Netflix

 

Nouveau film des frères Coen, encore un western, mais cette fois sous forme d'anthologie. Par définition, ce genre de film est fortement dépendant des différentes histoires racontées, et cette ballade ne fait pas exception à la règle. On alterne l'excellent (La Fille qui fut sonnée, le segment le plus long du film) et le passable (Les Restes mortels, affreusement bavard) en passant par l’anecdotique (la première histoire, celle qui donne son titre au film). Le film a le mérite de présenter plusieurs facettes du western, une par segment (le western chanté, la ruée vers l'or, les grandes migrations, les voyages en diligences, les attaques de banques et les marchands ambulants), et fait ça plutôt bien. On en vient à regretter de ne pas pouvoir découvrir ce film sur grand écran.

 

 

 

 

Les Visiteurs 2, les couloirs du temps et Les Visiteurs 3, la révolution, de Jean-Marie Poiré (Les Visiteurs, Le Père Noël est une ordure)

 

Le choix de mes enfants.

On avait vu le premier il y a quelques semaines, et comme à l'époque, j'avais trouvé ça très moyen mais regardable.

Pour le 2, comme à l'époque, j'ai détesté. C'est long, joué de manière hystérique (ça crie tout le temps) et sans intérêt.

Le 3 est une découverte par contre. Si il ne relève pas le niveau général, il est heureusement plus digeste que le précédent, plus calme aussi. Mais ça n'en fait pas un bon film.

 

 (Les Visiteurs 2)

 (Les Visiteurs 3)

[Hellboy]

 

Une amie ayant lu les livres m'a éclairé sur les incohérences du scénario et les différences entre les deux formats. Apparemment, même les romans sont bordéliques et le concept de base reste improbable aussi bien sur papier qu'à l'écran.

Révélation

On teste de jeunes cobayes en les mettant dans un labyrinthe qui a dû coûter des milliards à bâtir et à mettre en œuvre alors que la Terre est dévastée... pour finalement les capturer dès qu'ils en sortent et leur prendre leur sang. Un sang censé pouvoir guérir une épidémie qui a décimé la majorité de l'humanité... Euh... on ne pouvait pas... je ne sais pas moi... les garder dans un laboratoire et étudier leur sang directement ? Et pourquoi s'emmerder à créer des espèces d'araignées/robots géants pour tuer les seules personnes capables de sauver le monde ? Cette saga a encore moins de cohérence que le sous-Battle Royale de Suzanne Collins...

 

Bref, si l'on fait preuve d'énormément de bonne volonté et qu'on se contente de profiter du spectacle, le premier volet fait le boulot avec des scènes dans le labyrinthe haletantes, ainsi qu'un petit côté communautaire qui rappelle Sa Majesté de Mouches. La suite commence assez mal mais prend son envol lorsque les personnages arrivent dans un centre commercial abandonné. S'ensuit une paire de courses-poursuites étonnamment nerveuses qui rappellent 28 Jours Plus Tard et L'Armée des Morts, voire The Last of Us. Dommage que le soufflé retombe dans sa dernière partie, qui commence à ressembler à un ersatz d'Hunger Games. Ce que le dernier film sera totalement, s'imposant comme le moins réussi de la saga, avec un scénario convenu et un sérieux manque d'originalité.

 

En définitive, c'est une saga orientée pour les ados, qui reste assez sombre et violente par rapport à la concurrence et qui a ses bons moments. Mais les incohérences en pagaille et les personnages lisses gâchent le peu de potentiel qu'offrait le pitch de base.

 

Le Labyrinthe :

 

La Terre Brûlée :

 

Le Remède Mortel :

 

Image :

Son :