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Cinéma : Le Vrac


Rocket' Raccoon
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Perso, pas emballé du tout par cette nouvelle mode.

Oz j'ai trouvé ça très moche (et décevant de la part de Sam Raimi), Maléfique à peine mieux. Pour Cendrillon ça passait mieux déjà pour moi. Le Livre de la Jungle, je l'ai trouvé super beau, mais je pense pas que je le reverrai.

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Bah dans le fond, c'est claire et nette que ça reste Disney qui surfe sur une vague où ils se font du pognon facilement. Prendre des dessins animés connus et appréciés de beaucoup pour les retranscrire en films, c'est du zéro risque sur le papier. Après c'est plus ou moins bien fait quoi...

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Pour l’instant, il n'y a que pour Le Livre de la jungle que je n'ai pas été déçu, mais là, pour Le Roi Lion, c'est un peu du foutage de gueule énorme! Encore, s'il y avait quelques humains dans le film, je dirais pourquoi pas voir ce que ça donnerait, mais sachant qu'on aura que du CGI c'est juste inutile et sans intérêt. Bref, comment gâcher du pognon made in Disney! 

 

Le film d'animation se suffit largement à lui-même ! 

 

 

 

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Nan c'est l'équipe des Kaïra qui reprend le flambeau je crois. Du coup je sais pas trop qui sera là parmi les anciens, et carrément s'il y en aura ou pas... M'enfin bon, une annonce en or malgré tout ! 

 

Y'a des jours comme ça, t'apprends que ce sera un jeux vidéos dans Jumanji, et que Taxi 5 va voir le jour :lol:

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(modifié)

On embarque pour ce mois d'Octobre entre douceur et fraîcheur, pour les ressorties de films à voir ou à revoir en version restaurée ! :good:

 

Le 05: Film qui a valu à Jack Nicholson le prix interprétation masculine et le Bafta du meilleur acteur, La Dernière Corvée (The Last Detail), de Hal Ashby (1973)  et Vas-y, fonce (Drive, He Said) de Jack Nicholson (1971) "non restauré", ressort pour clôturer la rétrospective sur le nouvel Hollywood et la place importante qu'à joué l'acteur au début des années 70. On poursuit avec La Dernière séance (The Last Picture Show), de Peter Bogdanovich (1971) qui avait déjà fait l'objet d'une ressortie nationale en 2013 mais qui vient compléter à la fois le renouveau du cinéma hollywoodien et celui de la nouvelle génération américaine :rock:. On finit avec le réalisateur Douglas Sirk dont ses films sont ressortis toute au long de l'année avec pour ce mois ci, Mirage de la vie (Imitation of Life) (1959), remake d'un film de John M. Stahl, Images de la vie, sorti en 1934. 

 

Le 12: A la fin des années 50, éclatant peu à peu le documentaire traditionnel et quittant de ce fait l'ethnologie, Jean Rouch va réaliser Moi, un noir (1958), docu fiction suivant un groupe de nigériens notamment Oumaru Ganda dit "Edward. G. Robinson" à Treichville pour venir chercher du travail. Ce film sera l'une des grandes aspiration de La Nouvelle vague. On continue avec Du soleil dans les yeux, de l'italien Antonio Pietrangeli (1953): Celestina, jeune fille de milieu rural part pour Rome afin d'y gagner sa vie comme domestique. Un grand Douglas Sirk pour finir avec son chef d'oeuvre, Le Temps d'aimer et le Temps de mourir (A Time to Love and a Time to Die) (1958).

 

Le 19: Film qui a subit la violence de la critique presse mais qui a su trouver son public grâce à un succès énorme à sa sortie , La Mélodie du bonheur (The Sound of Music) de Robert Wise (1965) ressort avec l'excellente Julie Andrews :loveit:. César du meilleur film et Oscar du meilleur film étranger, Indochine de Régis Wargnier (1992) avec la césarisée Catherine Deneuve revient sur les écrans. On termine par Mouchette de Robert Bresson (1967) adapté d'un roman de Georges Bernanos qui suit une jeune fille de la campagne qui se fera violée par un braconnier avec les conséquences que ça engendrera sur sa vie.  

 

Le 26: Après le nom moins intriguant The Serpent and The Rainbow sorti en juin dernier, c'est à un des ses grand classique vieillissant de ressortir en version restaurée, c'est évidemment La Colline a des yeux (The Hills Have Eyes) (1977) tiré d'un fait réel, brrrr :stress:. On continue avec le réalisateur Nicolas Winding Refn avec la ressortie de son deuxième film, gros succès au Danemark, Bleeder (1999). On enchaîne avec Missing de Costa-Gavras (1982) sur la disparition d'un citoyen américain après le coup d'état de Pinochet en 1973 au Chili. On remonte un peu le temps avec Le Milliardaire (Let's Make Love), de George Cukor (1960) avec le duo Marylin Monroe et Yves Montand. Deuxième film, cette fois-ci documentaire de fabulation (lien déf.http://www.cineclubdecaen.com/analyse/documentairesdefabulation.htm)de Jean Rouch, La Chasse au lion à l'arc (1967). On termine ce moi par deux films du réalisateur israélien Uri Zohar: Les Voyeurs (1972), Les Yeux plus gros que le ventre (1974) et Trois jours et un enfant (1967) dont l'acteur Oded Kotler a reçu le prix d’interprétation masculine à Cannes.  

 

Bonnes séances à tous et au mois prochain popcorn-and-drink-smiley-emoticon.gif ;)

Modifié par Naolonlon
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Mon petit retour sur le Festival du cinéma britannique de Dinard pour ceux que ça intéresse. Déjà le cadre est super jolie (bon après Dinard je connaissais bien déjà :P ). Les salles sont juste à côté de la plage, la ville est bourrée de charme, quelques décors British par ci par là, et puis toujours ces références à Hitchcock partout dans la ville, dont une superbe statue près de la plage. C'est petit comme festival (ayant déjà fait Deauville, j'ai pas pu m'empêcher de comparer les deux). La salle où sont diffusés les films en compétition ne fait que 344 places (contre 1500 places à Deauville).

D'ailleurs il n'y avait que 6 films en compétition, et beaucoup plus de films en avant-premières pour compléter, ainsi que des courts métrages. Le jury était présidé par Claude LeLouch cette année, donc c'était plutôt cool :) 

 

J'ai vu deux films, je ne suis pas resté longtemps. Un film en compétition, avec la présence de la réalisatrice d'ailleurs, qui était aussi le premier rôle de son film : Prevenge. L'histoire d'une femme enceinte, sérial killeuse à ses heures. On pourrait croire à un gros film social, mais c'est en fait une grosse comédie bien noire. L'humour est vraiment noir, et la violence très présente. Quand elle tue quelqu'un, c'est vraiment trash. La réalisation n'était pas trop mal (rien de fou non plus), la musique a été faite à l'aide de gros synthé des années 70/80. C'était assez drôle et prenant.

 

Sinon après j'ai vu en avant-première un film complètement délirant, avec une affiche déjà pas mal à la base : Eat Local.

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Film de vampires fauché (mais avec un très beau casting) complètement loufoque et barge. C'est de l'humour un peu à la Hot Shot ou autre. Il y a des répliques très marrantes et complètement bêtes. Le film a un petit côté cheap qui m'a quand même gêné par moment, mais faut avouer qu'il a l'air d'avoir été bricolé avec quasi pas de budget. Le producteur du film, qui était présent, a dit qu'un acteur comme Charlie Cox (qui joue Daredevil dans la série du même nom) a vraiment donné de sa personne et a même carrément donné de l'argent pour que le film voit le jour. C'est le premier film d'un acteur très connu qui est Jason Flemyng. C'est à voir pour le délire, mais faut vraiment s'attendre à ce que c'est : un film fauché, qui peut faire des bides sur certaines répliques mais qui n'en reste pas moins drôle à regarder, surtout grâce à une deuxième moitié de film plus marrante.

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C'est vraiment stupide les pétitions à répétition... Puis même s'il pourrait apporter des choses, Tarantino à la tête d'un gros blockbuster super héroïque comme ça, où le studio voudra tout charcuter de dernière minute si c'est trop bizarre (qui a justement commencé ses conneries en virant Tim Miller), ça donne pas envie.

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On se retrouve déjà en Novembre, (bientôt la fin de l'année :snif:) pour voir ou revoir ces films qui ont marqué le 20ème siècle en version restaurée !

 

Le 02: IL Boom, du réalisateur italien Vittorio De Sica (1963) ou le revers du miracle économique italien à travers Giovanni Alberti richissime homme d'affaire qui s'endette puis se voit assailli par les difficultés financières.

Ensuite, on va au cirque avec Man on the Tightrope, d'Elia Kazan (1953) ou le directeur d'un cirque tchécoslovaque va devoir changer le programme de sa troupe qui va déplaire aux communistes suite à leur arrivée au pouvoir.

Après l'Italie et la Tchéco on se dirige vers l'Angleterre dans Les Enfants du chemin de fer (The Railway Children) de Lionel Jeffries (1970). Trois enfants et leur mère doivent déménager d'un quartier luxueux à la banlieue de Londres car leur père est emprisonné après avoir été accusé d'avoir vendu des secrets d'états aux russes. de cette maison, les enfants regardent passer les trains et se lieront d'amitié avec certains des passagers et des employés du train.

 

Le 09: Pour le 40ème anniversaire du film,Taxi Driver de Martin Scorsese (1976) ressort sur les écrans avec le remarquable Robert de Niro et la toute jeune Jodie Foster.

Le revers hollywoodien avec le chef d'oeuvre Boulevard du crépuscule (Sunset Boulevard) de Billy Wilder (1950) où un scénariste  qui a du mal à percer est embauché par une ancienne star du muet pour écrire un scénario.

S'ensuit l'un des premiers film tourné en Cinémascope avec le choc de deux stars du moment, Robert Mitchum et Marylin Monroe dans Rivière sans retour (River of no Return) d'Otto Preminger (1954):  Après une absence de plusieurs années, Matthew Calder arrive dans un camp de chercheurs d'or pour retrouver son fils, Mark, qui y erre depuis la mort de sa mère. Là, le garçon de 9 ans vit sous l'aile d'une chanteuse de bar : Kay. Le père promet à son fils une vie de chasse et de pêche, loin de la fièvre de l'or. Tous deux quittent le village et partent s'installer dans la vallée.

Auréolée de l'Oscar de la meilleure actrice en 1950, L'Héritière (The Heiress), de William Wyler (1949) ressort avec la sublime Olivia de Havilland: Au début du siècle, une riche héritière est la cible d'un chasseur de dot.

On termine avec un autre film d'Otto Preminger, et quel film! Un bijou du film noir, Laura (1944) avec Gene Tierney. L'Inspecteur McPherson enquête sur le meurtre de Laura Hunt publiciste devenue célèbre grâce au critique Waldo Lydecker. 

 

Le 16: Grand prix du festival de Cannes 1966, Un homme et une femme de Claude Lelouch ressort dans une toute nouvelle version restaurée: Anne Gauthier et Jean-Louis Duroc, trente ans tous les deux, se rencontrent par hasard à Deauville, où ils viennent de rendre visite à leurs enfants respectifs en pension dans un "home". Ils se sentent attirés l'un vers l'autre. Anne lui parle sans cesse de son mari. Celui-ci, cascadeur s'est tué deux ans plus tôt et son souvenir ne cesse de l'obséder.

 Au cours d'un week-end suivant, Jean-Louis lui avoue que lui-même, coureur automobile, a eu un très grave accident. Sa femme, le croyant perdu, s'est tuée de désespoir.

On part aux Philippines pour le prochain film avec Manille: dans les grilles des ténébres de Lino Broka (1975) où un ouvrier tente de retrouver sa fiancée dans les bas fonds de Manille mais va en venir à se prostituer.

Enfin, on va en République tchèque avec Eclairage intime d'Ivan Passer (1975), 1er film du réalisateur qui montre deux jours de la vie quotidienne d'une famille dans un village.

 

Le 23:  Petit report pour La Colline a des yeux (The Hills Have Eyes) de Wes Craven (1977).

Un autre film de monstre ressort enfin dans une toute belle version, c'est Freaks de Tod Browning (1932) dans le fameux cirque Tetrallini où sont exhibés des êtres difformes et les amours dangereux entre un lilliputien et une acrobate.

Court métrage d'animation qui utilisa pour la première fois la pâte à modeler, je veux bien sûr parler de Wallace et Gromit avec en version numérique Une Grande excursion (1989) et Un mauvais pantalon (1993) de Nick Park regroupés dans Les Inventuriers.

On finit dans la comédie italienne avec Il Vigile de Luigi Zampa (1960) qui raconte les mésaventures d'un agent municipal arrogant et vaniteux dans un petit village à côté de Rome.

 

Le 30: On finit ce mois avec la deuxième adaptation du roman épistolaire Les Liaisons dangereuses, Valmont de Milos Forman (1989). 

 

Bonnes séances à tous et au mois prochain :bananadance:

 

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